La mission de la CEA est de fournir des idées et des actions pour une Afrique autonomisée et transformée; éclairé par le Programme 2030 et l’Agenda 2063.
La mission sera guidée par les cinq nouvelles orientations stratégiques de la CEA qui sont les suivantes : faire progresser la position de la CEA en tant qu’institution du savoir de premier plan qui s’appuie sur sa position unique et son privilège d’apporter des solutions mondiales aux problèmes du continent et d’apporter des solutions locales au continent ; élaborer des options de politique macroéconomique et structurelle pour accélérer la diversification économique et la création d’emplois; concevoir et mettre en œuvre des modèles de financement innovants pour les infrastructures, les actifs humains, physiques et sociaux pour une Afrique en transformation; apporter des solutions aux défis régionaux et transfrontaliers, en mettant l’accent sur la paix, la sécurité et l’inclusion sociale en tant que lien important avec le développement; défendre la position de l’Afrique au niveau mondial et élaborer des réponses régionales en tant que contribution aux questions de gouvernance mondiale.
POSTE 1: Consultant pour l’élaboration d’un manuel d’exportateur ZLECAf en République de Guinée
Activités et Délais
1. Rapport de cadrage méthodologique de toute la mission y compris une structure type du manuel et un chronogramme associé détaillé des différentes phases : 22 novembre 2022
2 Rapports de consultations des différentes parties concernées : 13 décembre 2022
3. Version provisoire du manuel et examen par les parties concernées : 30 janvier 2023
4. Rapport définitif du manuel : 17 février 2023
Lieu de travail
Guinée
La durée prévue
Trois mois (03)
Devoirs et responsabilités
CONTEXTE ET JUSTIFICATION
La République de Guinée est dotée d’un potentiel naturel suffisant pour sortir le pays de la pauvreté et assurer son développement inclusif et durable. Sa bauxite, estimée au tiers des réserves mondiales et deuxième producteur mondial derrière l’Australie selon la Banque Mondiale en 2019, ses gisements de fer, d’or, de diamant et d’uranium demeurent encore largement inexploités. Ses 320 km de façade maritime ajoutés à son potentiel hydroélectrique lui permettent des opportunités d’échanges et de transports avec ses 6 pays frontaliers que sont, le Mali, le Sénégal, la Sierra Léone, la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Guinée Bissau.
Cette exploitation insuffisante de son potentiel naturel correspond à la Guinée, une économie très fragile caractérisée par une croissance peu inclusive et durable fondée principalement sur les activités d’extraction minière peu créatrices d’emplois.
Plusieurs politiques et stratégies élaborées à partir de 2010 ont mis l’accent sur le commerce. Le document de stratégie de la réduction de la pauvreté, troisième génération (DSRP III (2010-2015) avait défini le commerce comme garant de l’amélioration des conditions de vie des populations, du maintien de la paix, de la stabilité politique et vecteur de la croissance économique.
De son côté, la Politique Nationale de Développement Economique et Social (PNDES 2016-2020) fait du commerce une de ses priorités.
Il est important de noter que la balance commerciale de la République de Guinée est longtemps restée déficitaire. Cette tendance s’est inversée à partir de 2019 avec la hausse vertigineuse de l’export des produits miniers. Ainsi, la balance commerciale des biens du pays a enregistré un excédent de 475,4 millions de dollar américain en 2019. Cette tendance s’est fortement améliorée en 2020 avec un excédent de 5203, 8 millions de dollar américain soit une hausse de plus de 100% (source : Banque Centrale de la République de Guinée).
La structure des exportations guinéennes est caractérisée par une forte domination des produits miniers non transformés, ceci implique une non diversification du commerce extérieur du pays entraînant une croissance non inclusive qui ne profite pas à la majorité de la population.
C’est pour être soigné à cette situation que le gouvernement de la République de Guinée avec l’accompagnement de ses partenaires s’est d’abord doté en 2019 d’une Stratégie Nationale de Promotion des Exportations (SNE) dont l’axe prioritaire est la promotion des exportations des produits non miniers.
Par la suite, la politique commerciale de la République de Guinée validée en 2021 ainsi que sa stratégie de mise en œuvre met un accent non négligeable sur l’exportation de produits non miniers.
Le plan d’actions stratégiques du Gouvernement de la transition ainsi que la lettre de mission du département du Commerce de l’Industrie et des PME se fixe comme objectif une augmentation de plus de 15 % des exportations non minières.
L’avènement de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2021, est une opportunité à saisir pour améliorer le volume des exportations non minières de la Guinée.
Pour réussir ce pari, le ministère du commerce, de l’industrie et des PME avec l’appui de la CEA et en collaboration avec certains partenaires internes notamment l’Agence Guinéenne de Promotion des Exportations (AGUIPEX) envisage la conception d’un guide des exportateurs dans le contexte de la ZLECAf. Ce manuel vise à informer les entreprises guinéennes à profiter des avantages du marché continental. Ce guide qui sera réalisé grâce à l’appui de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique et ses partenaires va être un élément de compétitivité pour les entreprises locales notamment les PME et PMI exportatrices mais aussi un pas important dans la mise en œuvre de la stratégie nationale ZLECAf.
TACHES ET RESPONSABILITÉS :
Il est attendu du consultant/Cabinet qu’il travaille sous la direction des autorités du ministère du Commerce de l’Industrie et des Petites et Moyennes Entreprises et la coordination directe du directeur en charge du commerce extérieur de la république de la Guinée. Le Consultant travaillera sous la supervision directe du Chef de la section initiatives sous-régionale du bureau de la CEA pour l’Afrique de l’Ouest.
A cet effet, il contribue à la réalisation des tâches suivantes :
– Présenter les opportunités, potentialités et avantages comparatifs de la Guinée sur le marché Africain ;
– Présenter les potentialités et les opportunités de marchés sur les autres marchés du continent ;
– Présenter le dispositif institutionnel guinéen de facilitation des échanges dans le cadre de la ZLECAf et le rôle de chacun des acteurs clé ;
– Examiner et répertorier dans une langue accessible toutes les informations contenues dans les différents protocoles de la ZLECAf et des autres accords qui sont utiles pour la conduite des opérations d’exportation ;
– Présenter dans un langage accessible les règles et procédures d’exportation dans le contexte de la ZLECAf ;
– Présenter dans un langage accessible les exceptions règlementaires et procédurales prises en compte dans le cadre des échanges sous la ZLECAf ;
– Présenter dans un langage accessible les instruments et outils de facilitation des échanges dans le contexte de la ZLECAf ;
– Présenter le capital physique de modes et moyens d’exportation sur le continent y compris les infrastructures requises ;
– Présenter les principaux avantages et les risques liés à l’exportation pour les entreprises dans la ZLECAf ;
– Présenter les principales implications et intelligence marketing en terme d’accès aux marchés africains (exemple : emballage, étiquetage, etc…)
– Mettre en exergue toutes autres informations opérationnelles et stratégiques y compris instruments et procédures/réglementations utiles pour l’épanouissement professionnel de l’exportateurs guinéen sur le marché africain
DUREE DE LA MISSION
La durée de la mission est de trois mois (03). La mission ne prévoit aucun déplacement hors du pays. Toutefois, tout déplacement prévu au niveau national dans le cadre de la mission sera couvert par le CEA selon la disponibilité des ressources attribuées à la mission. Les honoraires du/la consultant(e) seront rémunérés sur la base d’un montant forfaitaire en Dollars US applicable aux Nations unies conformément à la durée de la mission, les qualifications et l’expérience.
Qualifications/compétences particulières
Qualifications académiques : Un diplôme universitaire de troisième cycle (Master ou plus) en économie, statistiques, commerce international ou tous domaines relatifs est requis.
Au moins sept ans (07) d’expérience prouvée dans la définition et la mise en œuvre de stratégies et d’instruments de facilitation des échanges, des potentialités et opportunités d’échanges commerciaux de la Guinée ainsi que les défis du commerce de biens et services de la Guinée est requis.
Une bonne connaissance de l’accord de la ZLECAf et de ses annexes ainsi que les autres accords de libre-échange dont la Guinée est signataires y compris ceux de la CEDEAO, bases de données internationales sur le commerce de biens et services du marché Africain de biens et services est un atout.
Langues
L’anglais et le français sont les langues de travail des Nations unies. Pour cette mission, la maîtrise du français est exigée.
POSTE 2: Elaboration de la stratégie de communication pour la mise en œuvre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECAf)
Résultat de service
RESULTATS ATTENDUS
Les résultats attendus sont :
– La Stratégie de Communication sur la SN-ZLECAf du Niger est rédigée, validée et livrée ;
– Un Plan de Communication budgétisé est conçu par action et livré ;
– Les cahiers des charges et les spécifications techniques de tous les outils sont rédigés et livrés.
Lieu de travail
Niamey
La durée prévue
Trois (3) mois
Devoirs et responsabilités
CONTEXTE ET JUSTIFICATION
Le Ministère du Commerce (MC) est chargé, en relation avec les autres Ministères et Institutions, de la conception, de l’élaboration, de la mise en œuvre, du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de commerce, de concurrence, de lutte contre la vie chère, de protection des consommateurs, de développement des initiatives privées et la compétitivité des Petites et Moyennes Entreprises et de développement des investissements dans les chaînes de valeurs des produits Agro-Sylvo-Pastorale et Halieutique , pétrolière et minière, conformément aux orientations définies par le Gouvernement.
La position géographique du Niger au cœur de l’Afrique de l’Ouest l’offre une position qui fait de lui un trait d’union entre les Pays du nord et ceux du sud du Sahara et son gouvernement est convaincu du rôle que peut jouer le commerce dans l’accélération de son développement.
Par ailleurs, dans le cadre du renforcement de l’intégration économique régionale, les pays africains ont affirmé leur volonté énoncée dans l’Agenda 2063 de l’Union Africaine (UA) visant à créer un marché continental avec la libre circulation des personnes, des capitaux, des marchandises et des services qui sont essentiels pour la promotion du développement agricole, la sécurité alimentaire, l’industrialisation et la transformation structurelle de leurs économies. Tenant compte de ces aspirations, l’UA a procédé en 2018 à la finalisation des négociations sur l’Accord de Libre-Échange Continental (ALEC) portant création de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Cet accord représente une opportunité importante pour l’accroissement du commerce intra régional et continental. Ainsi, après le marché mondial créé par l’OMC,
En outre, à l’instar des autres pays de l’UA, les Autorités nigériennes ont intégré la ZLECAf comme une étape importante vers la mise en place du marché commun africain et de la communauté économique africaine. A ce titre, le Niger est le 1er pays à signer l’Accord instituant la ZLECAf, le 21 Mars 2018 et a déposé son instrument de ratification le 08 juin 2018. Afin de tirer profit des avantages qu’offre la ZLECAf opérationnelle depuis le 1er janvier 2021, le Niger doit relever de multiples défis en termes de développement des chaînes de valeurs, d’industrialisation, de transformation, d’infrastructures, de renforcement de capacités et d’amélioration de l’environnement des affaires.
Après l’adoption de la stratégie Nationale de mise en œuvre de la ZLECAf au Niger qui a été élaborée avec l’appui de la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), son opérationnalisation effective et sa vulgarisation permettant la mise en place d’une stratégie nationale de communication dont la mise en œuvre permettra à la population nigérienne de s’approprier les enjeux et défis du marché ouvert et concurrentiel.
En effet, cette stratégie de communication propose des outils et supports adaptés aux différents publics, de nature à assurer l’implication des acteurs et partenaires clés de mise en œuvre ainsi que la capitalisation des actions et le partage d’informations.
C’est à cet effet que le Ministère du Commerce, à travers le Secrétariat Permanent du Dispositif Institutionnel de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine avec l’appui de la CEA, sollicite le service d’un consultant spécialisé en communication afin d’ élaborer sa stratégie nationale de communication dans le cadre de la mise en œuvre de la SN-ZLECAf au Niger.
Les présents termes de référence ont pour objectif de définir le mandat et les fonctions du consultant/Cabinet.
TACHES DU CONSULTANT/CABINET
Il est attendu du consultant qu’il travaille sous la direction des autorités du ministère du Commerce et la coordination directe du directeur en charge du commerce extérieur du Niger.
Le Consultant travaillera sous la supervision directe du Chef de la section des initiatives sous-régionales du Bureau de la CEA pour l’Afrique de l’Ouest.
Le consultant retenu travaillera sous l’autorité du comité de suivi de l’élaboration qui sera mis en place à cet effet qui veillera aussi à l’inclusion de la démarche.
Il aura pour tâches de :
* Identifier les publics ciblés et dresser un profil précis, détaillé et approfondi de chacun d’entre eux ;
* Identifier les enjeux et actions stratégiques, ainsi que les messages clés pour chacun des publics cibles en tenant compte de leurs spécificités ;
* Identifier les canaux et les méthodes de communication les plus appropriés ;
* Proposer les canaux numériques optimaux pour promouvoir les produits et le Niger à l’international en tant que destination favorable aux investissements ;
* Identifier les besoins en informations des différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre de la ZLECAf ;
* Travailler à proximité pour garantir la compréhension et l’adoption de l’accord par les acteurs concernés ;
* Proposeur des canaux de communication plus appropriés qui répondraient aux exigences de l’efficacité et de l’efficience (internet, médias etc.);
* Proposer des actions permettant de mieux faire connaître les réalisations et prendre en compte les aspects transversaux comme le genre, la digitalisation ; etc.
* Répertorier les utilisateurs des résultats et identifiant pour chaque groupe les produits appropriés et les canaux de diffusion pour les atteindre ;
* Proposer des indicateurs mesurables pour le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre des actions de communication ;
* Élaborer un plan de communication budgétisé, arrimé à l’horizon temporel du plan d’action de la SN-ZLECAf avec des indicateurs de performance appropriés.
Qualifications/compétences particulières
Qualifications académiques : Un diplôme universitaire de cycle supérieur (minimum Bac+4), issu d’une formation en commerce ou marketing ou Communication ou journalisme est requis ou tout autre diplôme pertinent de niveau équivalent.
Expérience : Au moins cinq (05) années d’expériences dans le domaine de la communication institutionnelle, et familiarisée avec la problématique du commerce international et de la communication pour le développement est requis.
Une bonne connaissance avec une Agence de promotion des investissements et/ou de promotion des exportations est un atout.
Langues
Langue : l’anglais et le français sont les langues de travail du Secrétariat des Nations unies. Pour cette mission, la maîtrise du français est exigée et la connaissance de l’anglais est un atout.
POSTE 3: Consultant pour la formulation de la stratégie de communication pour la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) au Burkina Faso
Résultat de service
RESULTATS ATTENDUS
Les résultats attendus sont :
– La Stratégie de Communication sur la SN-ZLECAf du Burkina Faso est rédigée, validée et livrée ;
– Un Plan de Communication budgétisé assorti d’un chronogramme est conçu par action et livré ;
– Les cahiers des charges et les spécifications techniques de tous les outils sont rédigés et livrés.
Lieu de travail
À domicile
La durée prévue
3 mois
Devoirs et responsabilités
CONTEXTE ET JUSTIFICATION
Dans le cadre du renforcement de l’intégration économique régionale, les pays africains ont affirmé leur volonté énoncée dans l’Agenda 2063 de l’Union Africaine (UA) visant à créer un marché continental avec la libre circulation des personnes, des capitaux, des marchandises et des services qui sont essentiels pour la promotion du développement agricole, la sécurité alimentaire, l’industrialisation et la transformation structurelle de leurs économies. Tenant compte de ces aspirations, l’UA a procédé en 2018 à la finalisation des négociations sur l’Accord de Libre-Échange Continental (ALEC) portant création de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Cet accord représente une opportunité importante pour l’accroissement du commerce intra régional et continental. Ainsi,
En outre, à l’instar des autres pays de l’UA, les Autorités burkinabè définissent la ZLECAf comme une étape importante vers la mise en place du marché commun africain et de la communauté économique africaine. A ce titre, le Burkina Faso fait partir du 1er groupe de pays à signer l’Accord instituant la ZLECAf et a déposé son instrument de ratification. Afin de tirer profit des opportunités qu’offre la ZLECAf opérationnelle depuis le 1er janvier 2021, le Burkina Faso doit relever de multiples défis en termes de développement des chaînes de valeurs, d’industrialisation, de transformation, d’infrastructures, de renforcement de capacités et d’amélioration de l’environnement des affaires.
Après l’adoption en 2021 de la stratégie Nationale de mise en œuvre de la ZLECAf au Burkina Faso qui a été élaborée avec l’appui de la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), son opérationnalisation effective et sa vulgarisation ciblée la mise en place d’une stratégie nationale de communication dont la mise en œuvre permettra à la population burkinabè de s’approprier les enjeux et défis du marché ouvert et concurrentiel.
En effet, cette stratégie de communication propose des outils et supports adaptés aux différents publics, de nature à assurer l’implication des acteurs et partenaires clés de mise en œuvre ainsi que la capitalisation des actions et le partage d’informations.
C’est à cet effet que le Ministère en charge du Commerce avec l’appui de la CEA, sollicite le service d’un consultant spécialisé en communication afin d’élaborer sa stratégie nationale de communication dans le cadre de la mise en œuvre de la SN-ZLECAf au Burkina Faso.
Les présents termes de référence ont pour objectif de définir le mandat et les fonctions du consultant/Cabinet.
TACHES DU CONSULTANT/CABINET
Il est attendu du consultant qu’il travaille sous la direction des autorités du ministère du Commerce et la coordination directe du directeur en charge du commerce extérieur du Burkina Faso.
Le Consultant travaillera sous la supervision directe du Chef de la section des initiatives sous-régionales du Bureau de la CEA pour l’Afrique de l’Ouest.
Le consultant retenu travaillera sous l’autorité du comité de suivi de l’élaboration qui sera mis en place à cet effet qui veillera aussi à l’inclusion de la démarche.
Il aura pour tâches de :
* Identifier les publics ciblés et dresser un profil précis, détaillé et approfondi de chacun d’entre eux ;
* Identifier les enjeux et actions stratégiques, ainsi que les messages clés pour chacun des publics cibles en tenant compte de leurs spécificités ;
* Identifier les canaux et les méthodes de communication les plus appropriés ;
* Proposer les canaux numériques optimaux pour promouvoir les produits et le Burkina Faso à l’international en tant que destination favorable aux investissements ;
* Identifier les besoins en informations des différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre de la ZLECAf ;
* Travailler à proximité pour garantir la compréhension et l’adoption de l’accord par les acteurs concernés ;
* Proposeur des canaux de communication plus appropriés qui répondraient aux exigences de l’efficacité et de l’efficience (internet, médias etc.).
* Proposer des actions permettant de mieux faire connaître les réalisations et prendre en compte les aspects transversaux comme le genre, la digitalisation ; etc.
* Répertorier les utilisateurs des résultats et identifiant pour chaque groupe les produits appropriés et les canaux de diffusion pour les atteindre ;
* Proposer des indicateurs mesurables (KPI : Key Indicator Performance ou autrement appelés ICP : Indicateurs Clés de Performance) pour le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre des actions de communication.
* Élaborer un plan de communication budgétisé, arrimé à l’horizon temporel du plan d’action de la SN-ZLECAf avec des indicateurs de performance appropriés.
Qualifications/compétences particulières
Un diplôme universitaire de cycle supérieur (minimum Bac+5), issu d’une formation en commerce, marketing, communication, journalisme est requis ou tout autre diplôme pertinent de niveau équivalent.
Au moins cinq (05) années d’expériences dans le domaine de la communication institutionnelle, et familiarisée avec la problématique du commerce international et de la communication pour le développement est requise. Il doit disposer des aptitudes et des expériences ci-après :
– Expérience prouvée dans l’élaboration de stratégies de communication institutionnelle (corporate).
– Expérience prouvée dans l’élaboration de stratégies de marketing numérique ;
– Expérience prouvée dans la conception d’outils de communication ;
– Expérience et créativité en conception graphique ;
– Expérience avérée en matière de procédures et réglementation de facilitation des échanges dans le contexte de l’intégration région en général et de la ZLECAf en particulier ;
– Expérience dans le marketing numérique.
Une expérience avec une Agence de promotion des investissements et/ou de promotion des exportations serait un atout.
Langues
l’anglais et le français sont les langues de travail du Secrétariat des Nations unies. Pour cette mission, la maîtrise du français est exigée et la connaissance de l’anglais est un atout.
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