Expertise France recrute pour ces 04 postes (25 Avril 2023)

Expertise France recrute

Informations sur l'emploi

Titre du Poste : 04 postes

Description de l'emploi

Expertise France est l’agence publique de conception et de mise en œuvre de projets internationaux de coopération technique. L’agence intervient autour de quatre axes prioritaires :

  • gouvernance démocratique, économique et financière ;
  • paix, stabilité et sécurité ;
  • climat, agriculture et développement durable ;
  • santé et développement humain.

Dans ces domaines, Expertise France assure des missions d’ingénierie et de mise en œuvre de projets de renforcement des capacités, mobilise de l’expertise technique et joue un rôle d’ensemblier de projets faisant intervenir de l’expertise publique et des savoir-faire privés.

Poste 1 : Consultant.e.s capitalisation du projet Ecler Ivoire (H/F)

Description de la mission

Le projet Ecler Ivoire arrive à son terme après plus de 5 années de mise en œuvre. Il s’agit d’un projet pilote pour le pays qui a permis une nouvelle vision de la pertinence d’une électrification solaire par rapport à un raccordement au réseau MT (Moyenne Tension), et de proposer un nouveau modèle viable pour un investissement à grande échelle dans la mise en œuvre d’un service d’électricité de qualité dans des campements ruraux. L’équipe projet souhaite mener une capitalisation accompagnée par un prestataire externe afin d’animer le processus de capitalisation et de documenter les acquis et les leçons tirées de l’expérience.

 

La mission de capitalisation qu’Expertise France compte mener devrait permettre de :

  • Retracer et documenter le déroulé du projet, les choix opérationnels et/ou stratégiques afin de garder une trace écrite et alimenter la mémoire collective ;
  • Tirer les enseignements de la mise en œuvre du projet en identifiant les modalités opérationnelles efficaces et les bonnes pratiques développées afin de consolider les acquis ;
  • Documenter la dimension innovante du projet dans une perspective de passage à l’échelle ;
  • Promouvoir les réalisations et les bonnes pratiques du projet auprès des parties prenantes et acteurs ciblés.
  • Partager les enseignements clés issus du projet et des approches mentionnées ci-dessous et alimenter le travail de plaidoyer du projet sur les politiques énergétiques et d’électrification rurale.

 

Il s’agira en particulier d’analyser les approches méthodologiques et spécificités du projet tels que :

  • Co-conception avec les institutions ivoiriennes : les autorités ivoiriennes ont été impliquées tôt dans le développement du projet, et le projet a ainsi répondu aux préoccupations politiques et orientations stratégiques du Ministère de l’Energie et de CI-Energies. Cette étroite collaboration a permis au projet de proposer des réponses concrètes à des problématiques d’énergie, de réduction des dépenses en énergie et d’impact sur l’environnement.
  • Prise en compte de la notion de service public : le projet a fait une proposition de stratégie de recouvrement des coûts de l’électrification rurale ne faisant pas appel à un mécanisme compliqué de péréquation. Le principe d’équité dans la qualité des services et tarifs a été promu sur l’ensemble du territoire.

 

Les utilisateurs principaux de cet exercice de capitalisation sont l’équipe du projet, les partenaires nationaux (Ministère de l’Energie, CI-Energies), l’agence Expertise France, les bailleurs de fonds et les agences internationales (CEDEAO, ambassades, etc.)

Les utilisateurs secondaires sont toutes les parties prenantes concernées ou intéressées par les enjeux d’électrification rurale et d’efficience énergétique en Afrique de l’Ouest.

 

Livrables

Il est attendu de la mission de capitalisation les livrables suivants :

1)      Les comptes-rendus des ateliers menés,

2)      Un livret de capitalisation explicitant les éléments suivants :

a.    Présentation du projet et des axes méthodologiques, des parties prenantes et de l’historique du projet,

b.    Enjeux du projet,

c.    Bonnes pratiques mises en œuvre par le projet,

d.    Valeur ajoutée d’Expertise France dans la mise en œuvre de tels projets,

e.    Leçons apprises et recommandations pour des programmes similaires d’appui à l’électrification rurale et l’efficience énergétique

Le livret de capitalisation sera complété par une présentation en format PPT permettant de souligner les leçons apprises et bonnes pratiques.

 

Méthodologie

La mission de capitalisation devra faciliter le recueil des connaissances via les contributeurs, c’est-à-dire les parties prenantes du projet Ecler Ivoire. Les consultant.e.s seront en charge d’animer ce processus, et analyseront les contributions. Il s’agira d’un travail participatif, dont le contenu sera principalement issu de deux ateliers, un par composante du projet.

Pour mener à bien l’animation du travail de capitalisation, les consultant.e.s se devront :

  • Traduire sous une forme facilement transmissible la description des actions menées, leurs résultats, les modes de mise en œuvre et les leçons tirées des deux composantes,
  • Réussir à créer un climat de confiance et d’échange dans lequel les contributeurs seront à l’aise pour s’exprimer sur le projet, les difficultés rencontrées et leurs ressentis pendant la mise en œuvre,
  • Créer une dynamique participative impliquant l’ensemble des parties prenantes du projet.

 

D’un point de vue méthodologique, le processus combinera différentes phases :

 

  • Phase de cadrage

La phase de cadrage démarrera avec une réunion de lancement regroupant les consultant.e.s et le groupe de pilotage (voir page « Pilotage et gouvernance de la mission »), au cours de laquelle il s’agira de présenter les attentes de la mission et d’affiner, de façon participative, les objectifs, les acteurs et les destinataires, les supports de capitalisation, la méthodologie et le calendrier de la mission. Suite à cette réunion, une note de cadrage sera produite par les consultant.e.s et validée lors d’une réunion de cadrage. Cette phase préparatoire est clé et permettra de valider la méthodologie proposée.

En parallèle, le groupe de pilotage fournira à l’équipe de consultance l’ensemble de la documentation disponible afin qu’elle puisse réaliser la revue documentaire nécessaire pour mieux comprendre les enjeux du projet, son déroulé et ses résultats.

 

  • Phase de collecte

Le processus de capitalisation reposera uniquement sur la collecte de données qualitative, via deux ateliers et la revue documentaire principalement. Des entretiens complémentaires pourront être menés si nécessaire.

Les deux composantes du projet étant très différentes en termes d’objectifs, d’activités et d’acteurs impliqués, il a été décidé de réaliser deux ateliers distincts. Les deux se dérouleront sur une journée chacun avec les acteurs concernés. Ils réuniront chacun une quinzaine de personnes.

Ils auront lieu à Abdidjan ou Bassam la semaine du 12 juin (à confirmer). Ils auront pour objectif de retracer collectivement les temps forts du projet, les grandes réussites/forces et difficultés/défis, puis de tirer les leçons sur la mise en œuvre des deux composantes.

Il est attendu que les consultant.e.s élaborent et proposent un déroulé détaillé des deux ateliers qui sera validé par le groupe de pilotage, avec des techniques d’animation et des activités incitant à la prise de recul et à la réflexion critique mais constructive.

Suite à cette mission en Côte d’Ivoire, une réunion de restitution à chaud par les consultant.e.s des résultats préliminaires suite à la phase de collecte devra être réalisée auprès du groupe de pilotage et les comptes-rendus des 2 ateliers leur seront envoyé.

 

  • Phase de production de livrables

Les données collectées lors de la phase de revue documentaire et d’ateliers seront consolidées, analysées et triangulées. Une version provisoire du livrable de capitalisation sera produite par les consultant.e.s et transmis au groupe de pilotage pour commentaires.

La version finale prendra la forme d’un livret d’une dizaine de pages incluant des témoignages et des photos (voir les livrets BIODEV2030 pour exemple en termes de visuel et format). La taille (A4 ou A5) et le nombre de pages seront déterminés suite à la phase de collecte en fonction des contributions et informations recueillies.

Une réunion finale avec le groupe de pilotage permettra de valider officiellement le livret.

 

  • Phase de restitution et de diffusion

Une fois le livrable de capitalisation validé, les consultant.e.s animeront une réunion de restitution pour présenter les résultats principaux de la capitalisation et diffuser les leçons identifiées et documentées. La modalité de cette restitution pourra prendre deux formes et reste donc à définir :

1)    Une réunion destinée aux parties prenantes du projet, dont les partenaires institutionnel, en visio, à la fin de la mission (fin juin-début juillet).

2)    Une restitution lors de l’évènement de clôture et d’inauguration des travaux de la tour SOGEHIFA en septembre 2023, lors duquel des acteurs institutionnels et bailleurs de fond pourront être présents. Pour cela, une deuxième mission à Abidjan du ou de la consultant.e principal.e sera nécessaire.

Il est attendu que l’équipe de consultance propose les deux options dans son offre financière, et qu’elle s’engage sur l’intégralité de la mission.

 

Organisation de la mission

La capitalisation est gérée par Expertise France avec l’aide d’un groupe de pilotage composé du Chef de projet, le Chargé de projet au siège d’EF, le Responsable du pôle énergie et la Coordinatrice Suivi-évaluation-apprentissage du département Développement durable au siège.

Les fonctions principales des membres de ce groupe de pilotage sont de :

  • Conseiller et orienter les choix relatifs à la capitalisation ;
  • Proposer des décisions sur les ajustements à opérer dans la conduite de la capitalisation ;
  • Valider les livrables remis par les prestataires de services ;
  • Faciliter les contacts entre les consultant.e.s et les parties prenantes du projet ;
  • Gérer la logistique de la mission sur place ;
  • S’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie de diffusion et d’appropriation des livrables issus de la capitalisation.

 

Des réunions du groupe du pilotage sont prévues dans le cours de cette capitalisation :

1.    Lors de la phase de cadrage, pour valider la méthodologie générale de mise en œuvre, le plan de collecte des données (et notamment le déroulé des deux ateliers) et la note de cadrage ;

2.    Lors de points intermédiaires pendant la mission de capitalisation, pour accompagner les consultant.e.s, proposer des éventuels ajustements, réagir aux premières analyses et constats, et réfléchir avec les consultant.e.s au plan du livret de capitalisation ;

3.    En phase de finalisation, pour valider les livrables finaux.

 

Organisation de la mission terrain

Dans le cadre de cet exercice de capitalisation, il est prévu une mission de 4 jours en Côte d’Ivoire pour l’animation des deux ateliers et d’éventuels entretiens. Les consultant.e.s auront à charge d’organiser le contenu des ateliers, tel qu’explicité ci-dessus, mais le groupe de pilotage se chargera de la logistique lié à la tenue de cet évènement : invitations, restauration, transports des participants, etc.

Les ateliers auront lieu en français.

 

Budget

Le budget maximum pour cette prestation est de 30.000€.

 

Calendrier

La mission se tiendra entre fin-mai et début-juillet (option 1) ou mi-septembre (option 2), entre telle que détaillée ci-dessous à titre indicatif :

Activités Lieu Nombre de jours indicatifs Dates
1.    Phase de cadrage Paris ou à distance 3 jours Semaine du 22 mai
2.    Phase de collecte Abidjan et Bassam 5 jours Semaine du 12 juin (à confirmer)
3.    Phase de production de livrables A distance 10 jours Fin juin – début juillet
4.    Phase de restitution et de diffusion A distance (option 1) ou à Abidjan (option 2) 1 jour Début juillet (option 1) ou mi-septembre (option 2)

L’équipe de consultance sélectionnée devra proposer dans son offre un plan de travail détaillé incluant les jours travaillés par activité et par membre de l’équipe de capitalisation, ainsi que les dates et lieux indicatifs.

Description du projet ou contexte

Contexte général

Le Gouvernement de Côte d’Ivoire a élaboré, en 2013, un Programme National d’Electrification Rurale (PRONER) prévoyant l’électrification prioritaire des localités de plus de 500 habitants pour 2016 et l’électrification totale du pays par phases pour 2020. Le Programme encourageait par ailleurs « le recours à l’électrification décentralisée permettant le développement des énergies renouvelables (solaire, biomasse, petite hydroélectricité) ». Le Gouvernement a également lancé, en 2014, le Programme Electricité Pour Tous (PEPT) qui visait à raccorder 200 000 ménages par an sur la période 2014-2020, par un mécanisme apportant une facilité de paiement pour le branchement initial, principal obstacle pour les ménages vivant dans des localités électrifiées. Un Plan directeur d’Electrification Rurale a été élaboré en 2015, prenant en compte les objectifs des programmes susmentionnés.

L’Etat ivoirien a alors pris deux orientations stratégiques majeures : 1/l’application, sur l’ensemble du territoire, des mêmes normes techniques quelle que soit la solution d’électrification retenue ; et 2/ l’équité dans l’accès au service d’électricité : tous les usagers ont le même droit à un service d’électricité de qualité.

Côté Efficacité Energétique, deux directives de la CEDEAO et de l’UEMOA[1] en cours de promulgation ont servi en 2016 de référentiel aux administrations ivoiriennes pour la gestion de l’efficacité énergétique des bâtiments.  Le Gouvernement de Côte d’Ivoire a également rédigé un code de l’efficacité énergétique des bâtiments dans le cadre de l’appui institutionnel du programme ENERGOS[2] I financé par l’UE, puis a développé, en 2016 et avec l’appui de l’ECREEE[3], un Plan d’Action National pour l’Efficacité Energétique (PANEE). Il est prévu, en plus d’actions d’efficacité énergétique, un renforcement des capacités des acteurs publics et privés et une sensibilisation du public à l’efficacité énergétique des bâtiments.

C’est dans ce contexte et dans le cadre du programme ENERGOS II, financé par le 11ème Fonds Européen de Développement (FED), que le projet ECLER IVOIRE été lancé. ENERGOS II a pour objectifs d’améliorer l’accès des populations rurales aux services électriques, de contribuer à l’augmentation des capacités de production d’électricité par des énergies renouvelables et de réduire les consommations énergétiques.

ECLER IVOIRE a été conçu en concertation avec la Direction Générale de l’Energie (DGE) du Ministère du Pétrole, de l’Energie et des Energies Renouvelables, ainsi que CI-ENERGIE, société d’état ayant pour objet d’assurer le suivi de la gestion des mouvements d’énergie électrique ainsi que la maîtrise d’œuvre des travaux de développement des réseaux électriques.

 

Présentation du projet

Le projet Ecler Ivoire a débuté en novembre 2017 et doit se terminer fin septembre 2023. Il est composé de deux axes de travail indépendants. La logique d’intervention est donc double :

Composante 1 Composante 2
Objectif général Contribuer à l’objectif d’accès universel à l’énergie, dans la lignée de l’initiative SE4ALL[4] à laquelle l’Etat ivoirien a souscrit. Contribuer à améliorer l’efficacité énergétique en Côte d’Ivoire, en ligne avec les objectifs fixés à l’échelle régionale et nationale.
Objectif spécifique Des solutions d’électrification hors réseau à partir d’énergies renouvelables sont fournies à 16 localités rurales isolées. Les consommations énergétiques d’au moins un bâtiment public du plateau à Abidjan sont réduites de manière durable.
Produits 1. Réalisation d’une étude de faisabilité devant permettre de façon objective d‘identifier les besoins d’équipement, d’optimiser les coûts d’investissement et de définir les modalités de mise en œuvre des services d’électrification rurale décentralisée. 1. Actualisation et approfondissement des études d’audit en vue de travaux d’aménagement d’au moins un bâtiment public.
  2. Construction d’infrastructures de production et de distribution d’électricité. 2. Réalisation de travaux d’économie d’énergie, installation d’équipements et amélioration de l’efficacité des équipements.
  3. Développement et promotion des capacités nécessaires à la durabilité des actions. 3. Mise en place de mesures d’accompagnement, formation et sensibilisation.

La même méthodologie a été appliquée sur les deux composantes :

  • Etude de préfaisabilité pour vérifier la faisabilité technique et opérationnelle compte-tenu du périmètre et des zones d’intervention fournis par l’Etat et le bailleur
  • Etude de faisabilité technique réalisée par un cabinet externe en vue de la préparation des cahiers des charges techniques pour la réalisation des travaux
  • Réalisation de travaux (avec accompagnement d’une maitrise d’œuvre)
  • Implication des parties nationales à toutes les étapes du processus, de la conception à la réalisation

Pour les deux composantes, l’objectif principal a été de faire la démonstration de la viabilité de solutions techniques innovantes permettant de réduire l’empreinte carbone et d’augmenter le confort la qualité de vie des populations cibles.

Tout au long du projet, les notions de service public, de confort et de qualité d’usage ont été mises en avant par l’équipe projet : tous les citoyens de Côte d’Ivoire doivent pouvoir accéder, dans les mêmes conditions, à des services de base de qualité, où qu’ils habitent.

De plus, la transparence entre les partenaires du projet a été un axe majeur de la démarche mise en œuvre par EF : la collaboration et la confiance mutuelle entre les différents acteurs a été mise au premier plan tout au long du projet.

[1] Union Economique et Monétaire Ouest Africaine

[2] Le projet ENERGOS I, financé par l’UE, était axé sur l’amélioration du réseau électrique ivoirien et sur l’efficacité énergétique

[3] Centre Régional pour les Energies Renouvelables et l’Efficacité Energétique de la CEDEAO

[4] International organisation that works with the UN and leaders in government, the private sector, financial institutions, civil society and philanthropies to drive faster action towards the achievement of SDG 7 – access to affordable, reliable, sustainable and modern energy for all by 2030 – in line with the Paris Agreement on climate.

Profil souhaité

Un binôme de deux experts sera privilégié.

  • Diplôme Universitaire pertinent par rapport aux Termes de référence (gestion de projet, énergie, sciences politiques ou sociales, etc.) ;
  • Expérience d’au moins 5 ans dans la réalisation de missions liées au suivi-évaluation-apprentissage et/ou capitalisation de projets ;
  • Expérience confirmée dans l’animation d’ateliers, de formations, et techniques d’intelligence collective dynamiques ;
  • Excellente maitrise de la collecte et l’analyse de données quantitatives et qualitatives (mener des entretiens, des groupes de discussion, des enquêtes, etc.) ;
  • Expérience et connaissances sectorielles avérée dans les domaines concernés par la capitalisation ;
  • Une bonne connaissance de la Côte d’Ivoire sera un atout ;
  • Excellentes capacités :
    • De communication et de transmission des savoirs,
    • D’analyse,
    • De synthèse et de rédaction,
    • De pédagogie.

Informations complémentaires

Sélection

Les candidatures devront inclure :

  • Une offre technique :
    • compréhension et commentaires sur les éléments des termes de référence,
    • méthodologie, incluant des propositions de techniques et outils d’animation des deux ateliers de capitalisation avec les parties prenantes,
    • composition de l’équipe de capitalisation, leur CV et expériences similaires,
    • plan de travail détaillé,
    • répartition des rôles et responsabilités,
    • une liste de deux ou trois références de mission dont les objectifs sont similaires à la présente consultation ;
  • Une offre financière : budget global de la capitalisation comprenant les éléments budgétaires suivants : coût journalier de chaque intervenant ; décomposition des temps d’intervention par intervenant et par étape de travail. Le budget devra faire apparaître les deux options de restitution.

L’offre financière devra inclure les frais liés au transport (international et local), l’hébergement, les frais de logistiques ainsi que le matériel de papeterie nécessaires à la bonne réalisation des ateliers.

Le.s consultant.e.s seront sélectionné.e.s sur les critères suivants :

  • Profil et expérience des consultant.e.s (30%),
  • Compréhension des Termes de référence, des enjeux de la mission et du travail demandé (20%)
  • Proposition de méthodologie de collecte et d’analyse des données (20%)
  • Proposition de plan de travail (10%)
  • Offre financière (20%)

Critères de sélection des candidatures

Le processus de sélection des candidats s’opérera selon le(s) critère(s) suivant(s) :

  • Compétences du candidat en lien avec la mission d’expertise
  • Expériences du candidat en lien avec la mission d’expertise
  • Évaluation de l’expertise du candidat dans le domaine recherché

Date limite de candidature : 17/05/2023 23:59

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Poste 2 : Consultants: mettre en oeuvre renforcement des capacités sur le corridor de la ZLECAf (H/F)

Description de la mission

Dans le cadre de l’appui de la « Facilité d’assistance technique pour appuyer la ZLECAf et l’intégration économique continentale » (EU-TAF) au secrétariat de la ZLECAf, et plus particulièrement la Direction des Douanes du Secrétariat de la ZLECAf Expertise France sous l’égide d’EU-TAF recrute 2 consultants pour développer une stratégie de corridor continental pour la facilitation des échanges et pour identifier, développer, concevoir et déployer une formation/renforcement des capacités sur la stratégie de corridor commercial de la ZLECAf.

Les experts sous la supervision du directeur des douanes du Secrétariat de la ZLECAf et fournira des rapports d’étape réguliers sur l’état d’avancement des résultats et des livrables convenus.  Cela se fera sur la base d’un format de rapport convenu, à la fois pour le directeur des douanes du secrétariat de la ZLECAf et pour le programme TAF de l’UE.

 

  • Résultats attendus :

Les 2 consultants devront fournir les éléments suivants :

-Un rapport initial ;

-Une stratégie du corridor continental pour la facilitation des échanges ;

-Un rapport sur l’audit des capacités du personnel de la Direction des Douanes sur la gestion du corridor et de la chaîne d’approvisionnement ;

– L’élaboration d’un programme de formation/renforcement des capacités sur la gestion des corridors et de la chaîne d’approvisionnement ;

– L’identification des formateurs/institutions de formation

 

La méthodologie sera proposée par le consultant dans leur rapport initial.

Description du projet ou contexte

La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), signée par 54 des 55 pays africains, vise à atteindre l’objectif d’un marché unique continental. En février 2023, 46 États membres ont ratifié l’accord. Des progrès significatifs ont été enregistrés dans les négociations de la phase I (commerce des biens et services et règlement des différends) et la récente finalisation de la phase II (protocoles sur la politique de concurrence, l’investissement et les droits de propriété intellectuelle). Les négociations relatives aux protocoles sur les femmes et les jeunes dans le commerce et sur le commerce numérique devraient débuter au début de l’année 2023, et il est prévu de les conclure dans le courant de l’année.

Cet accord historique est très prometteur pour la transformation du continent, et permettra d’ouvrir de nouvelles économies d’échelle et de créer des bases plus solides pour la diversification économique. La ZLECAf devrait stimuler le commerce intra-africain, promouvoir la transformation structurelle et générer d’importantes opportunités d’emploi en Afrique, notamment pour les femmes et les jeunes. Malgré l’élan politique important et la forte justification économique, la réalisation de la ZLECAf nécessitera le renforcement des capacités institutionnelles pour achever les négociations et mettre en œuvre l’accord, avec la participation active du secteur privé et une coopération efficace entre les parties prenantes au niveau continental, régional et national.

Description de la facilité :

La Facilité d’assistance technique de Team Europe d’appui à la ZLECAf et l’intégration économique continentale (TE TAF), principalement par la réalisation de la ZLECAf. Il a deux objectifs spécifiques : 1. Mettre l’accent sur le renforcement de la capacité institutionnelle à coordonner les négociations, ainsi qu’à superviser la mise en œuvre de l’accord,  et 2. être un mécanisme efficace, réactif et flexible pour répondre aux besoins de l’Union africaine (Secrétariat de la ZLECAf, CUA et certaines agences spécialisées de l’UA), des CER, des États membres de l’UA et d’autres partenaires continentaux potentiels et organisations régionales du secteur privé, travaillant à la promotion de la ZLECAf et de l’intégration économique continentale.

 

Financé par l’UE, l’Agence française de développement, le ministère allemand de la coopération au développement (BMZ) et la Suède, le mécanisme d’assistance technique Team Europe sera mis en œuvre par la GIZ, Expertise France et la FIAPP sous la direction du secrétariat de la ZLECAf. Le TE – TAF est mis en œuvre par l’Unité de Gestion de Projet (UGP), basée au Secrétariat de la ZLECAf, à Accra, au Ghana, dont le mandat est de mobiliser l’assistance technique pour fournir des interventions qui favorisent l’amélioration de la mise en œuvre de l’accord. Chaque agence partenaire de mise en œuvre (Expertise France, GIZ et FIIAPP) est représentée dans l’UGP.

Justification du poste :

L’objectif général de la mission est d’aider le Secrétariat de la ZLECAf – Direction des douanes à développer une stratégie de facilitation des échanges pour le corridor continental. Sur la base de la stratégie de facilitation des échanges, concevoir, développer et mettre en œuvre un programme de renforcement des capacités de formation sur la gestion des corridors et de la chaîne d’approvisionnement pour le secrétariat de la zone de libre-échange des Amériques.

– Élaborer une stratégie de facilitation des échanges pour le corridor continental.

– Réaliser un audit des capacités du personnel de la direction des douanes en matière de gestion des couloirs et de la chaîne d’approvisionnement.

– Concevoir, développer un programme de renforcement des capacités de formation sur la gestion des couloirs et de la chaîne d’approvisionnement pour le secrétariat de la ZLECAf.

Profil souhaité

Les 2 consultants doivent posséder les qualifications suivantes :

Qualifications académiques :

– Diplôme supérieur en économie, administration des affaires, gestion des corridors et de la chaîne d’approvisionnement, transport et facilitation des échanges ;

Expérience :

– Au moins 10 ans d’expérience dans la gestion des corridors, le transport et la facilitation du commerce et dans la mise en œuvre de programmes de formation ;

– La preuve d’une expérience dans au moins l’une des qualifications indiquées est un avantage.

Exigences linguistiques :

Maîtrise de l’une des langues de travail de l’UA.

Informations complémentaires

Les 2 consultants doivent posséder les compétences clés suivantes :

  1. Compétences linguistiques ;
  2. Bonnes capacités d’écoute et de communication
  3. Excellentes compétences en matière de rédaction de rapports ;
  4. Un esprit analytique et critique bien développé.

Date limite de candidature : 12/05/2023 23:59

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Poste 3 : Consultants : proposer une stratégie de sensibilisation sur les mesures de facilitation commerciale (H/F)

Description de la mission

Dans le cadre de l’appui de la « Facilité d’assistance technique pour appuyer la ZLECAf et l’intégration économique continentale » (EU-TAF) au secrétariat de la ZLECAf, et plus particulièrement la Direction des Douanes du Secrétariat de la ZLECAf Expertise France sous l’égide d’EU-TAF recrute 2 consultants pour développer une stratégie pour mener des campagnes de sensibilisation sur les mesures de facilitation des échanges. Et mener des campagnes de sensibilisation pour les parties prenantes clés le long de 4 corridors commerciaux pilotes sur la base de la stratégie développée.

Les experts travailleront sur la supervision du directeur des douanes du Secrétariat de la ZLECAf et fournira des rapports d’étape réguliers sur l’état d’avancement des résultats et des livrables convenus.  Cela se fera sur la base d’un format de rapport convenu, à la fois pour le directeur des douanes du secrétariat de la ZLECAf et pour le programme TAF de l’UE.

  • Résultats attendus :

Les 2 consultants devront fournir les éléments suivants :

  • Un rapport initial
  • Une stratégie de coordination des campagnes de sensibilisation sur les mesures de facilitation des échanges dans tous les États parties ;
  • Une campagne de sensibilisation pour les principales parties prenantes le long de 4 corridors commerciaux pilotes ;

La méthodologie sera proposée par les 2 consultants dans leur rapport initial.

Description du projet ou contexte

La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), signée par 54 des 55 pays africains, vise à atteindre l’objectif d’un marché unique continental. En février 2023, 46 États membres ont ratifié l’accord. Des progrès significatifs ont été enregistrés dans les négociations de la phase I (commerce des biens et services et règlement des différends) et la récente finalisation de la phase II (protocoles sur la politique de concurrence, l’investissement et les droits de propriété intellectuelle). Les négociations relatives aux protocoles sur les femmes et les jeunes dans le commerce et sur le commerce numérique devraient débuter au début de l’année 2023, et il est prévu de les conclure dans le courant de l’année.

 

Cet accord historique est très prometteur pour la transformation du continent, et permettra d’ouvrir de nouvelles économies d’échelle et de créer des bases plus solides pour la diversification économique. La ZLECAf devrait stimuler le commerce intra-africain, promouvoir la transformation structurelle et générer d’importantes opportunités d’emploi en Afrique, notamment pour les femmes et les jeunes. Malgré l’élan politique important et la forte justification économique, la réalisation de la ZLECAf nécessitera le renforcement des capacités institutionnelles pour achever les négociations et mettre en œuvre l’accord, avec la participation active du secteur privé et une coopération efficace entre les parties prenantes au niveau continental, régional et national.

Description de la facilité :

La Facilité d’assistance technique de Team Europe d’appui à la ZLECAf et l’intégration économique continentale (TE TAF), principalement par la réalisation de la ZLECAf. Il a deux objectifs spécifiques : 1. Mettre l’accent sur le renforcement de la capacité institutionnelle à coordonner les négociations, ainsi qu’à superviser la mise en œuvre de l’accord,  et 2. être un mécanisme efficace, réactif et flexible pour répondre aux besoins de l’Union africaine (Secrétariat de la ZLECAf, CUA et certaines agences spécialisées de l’UA), des CER, des États membres de l’UA et d’autres partenaires continentaux potentiels et organisations régionales du secteur privé, travaillant à la promotion de la ZLECAf et de l’intégration économique continentale.

Financé par l’UE, l’Agence française de développement, le ministère allemand de la coopération au développement (BMZ) et la Suède, le mécanisme d’assistance technique Team Europe sera mis en œuvre par la GIZ, Expertise France et la FIAPP sous la direction du secrétariat de la ZLECAf. Le TE – TAF est mis en œuvre par l’Unité de Gestion de Projet (UGP), basée au Secrétariat de la ZLECAf, à Accra, au Ghana, dont le mandat est de mobiliser l’assistance technique pour fournir des interventions qui favorisent l’amélioration de la mise en œuvre de l’accord. Chaque agence partenaire de mise en œuvre (Expertise France, GIZ et FIIAPP) est représentée dans l’UGP.

Justification du poste :

L’objectif général de la mission est d’aider le Secrétariat de la ZLECAf- Direction des douanes à proposer une stratégie pour mener des campagnes de sensibilisation sur les mesures de facilitation des échanges.

– Proposer une stratégie de coordination des campagnes de sensibilisation aux mesures de facilitation des échanges dans tous les États parties ;

– Sur la base de la stratégie développée, mener des campagnes de sensibilisation pour les principales parties prenantes le long de 4 corridors commerciaux pilotes ;

Profil souhaité

Les consultants devront posséder les qualifications suivantes :

Qualifications académiques :

– Diplôme supérieur en communication, économie, administration des affaires ou tout autre domaine connexe.

Expérience :

– Au moins 7 ans d’expérience dans l’élaboration de campagnes de sensibilisation ou dans le domaine de la communication,

– Expérience avérée de la communication dans le domaine du commerce international, de la facilitation des échanges ou des procédures et processus douaniers ;

– Une expérience professionnelle pertinente dans les pays et les CER d’Afrique est un atout supplémentaire.

Exigences linguistiques :

Maîtrise de l’une des langues de travail de l’UA.

Informations complémentaires

Les 2 consultants doivent posséder les compétences clés suivantes :

  1. Compétences linguistiques ;
  2. Bonnes capacités d’écoute et de communication
  3. Excellentes compétences en matière de rédaction de rapports ;
  4. Un esprit analytique et critique bien développé.

Date limite de candidature : 12/05/2023 23:59

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Poste 4 : Consultants pour élaborer une stratégie de dédouanement accéléré des produits d’urgence (H/F)

Description de la mission

Dans le cadre de l’appui de la « Facilité d’assistance technique pour appuyer la ZLECAf et l’intégration économique continentale » (EU-TAF) au secrétariat de la ZLECAf, et plus particulièrement la Direction des Douanes du Secrétariat de la ZLECAf Expertise France sous l’égide d’EU-TAF recrute 2 consultants pour développer une stratégie de dédouanement par voie rapide des marchandises d’urgence telles que les produits alimentaires et pharmaceutiques.  Et sur la base de la stratégie développée, déployer des activités pour faciliter la collaboration entre les administrations douanières afin de mettre en œuvre des voies rapides pour le dédouanement des marchandises urgentes.

Les experts travailleront sous la supervision du directeur des douanes du secrétariat de la ZLECAf en coordination avec la personne de contact du TAF de l’UE et fournira des rapports d’étape réguliers sur l’état d’avancement des résultats et des livrables convenus.  Ces rapports seront établis sur la base d’un format de rapport convenu, à la fois pour le directeur des douanes du secrétariat de la ZLECAf  et pour le projet EU-TAF.

 

Résultats attendus :

Les 2 experts devront fournir les éléments suivants

– Un rapport initial ;

– Une étude diagnostique des flux alimentaires et pharmaceutiques dans les huit Communautés Economiques Régionales (CER) reconnues par l’UA ;

– Développer une stratégie pour la mise en œuvre de voies rapides dans des postes frontaliers sélectionnés dans les huit CER reconnues par l’UA, y compris un plan d’action pour la coopération douanière et les postes frontaliers sélectionnés.

La consultance impliquera des sources de données primaires et secondaires, y compris des visites sur le terrain pour observer les flux commerciaux dans des postes frontaliers sélectionnés, la conduite d’entretiens et l’administration de questionnaires.

Description du projet ou contexte

La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), signée par 54 des 55 pays africains, vise à atteindre l’objectif d’un marché unique continental. En février 2023, 46 États membres ont ratifié l’accord. Des progrès significatifs ont été enregistrés dans les négociations de la phase I (commerce des biens et services et règlement des différends) et la récente finalisation de la phase II (protocoles sur la politique de concurrence, l’investissement et les droits de propriété intellectuelle). Les négociations relatives aux protocoles sur les femmes et les jeunes dans le commerce et sur le commerce numérique devraient débuter au début de l’année 2023, et il est prévu de les conclure dans le courant de l’année.

 

Cet accord historique est très prometteur pour la transformation du continent, et permettra d’ouvrir de nouvelles économies d’échelle et de créer des bases plus solides pour la diversification économique. La ZLECAf devrait stimuler le commerce intra-africain, promouvoir la transformation structurelle et générer d’importantes opportunités d’emploi en Afrique, notamment pour les femmes et les jeunes. Malgré l’élan politique important et la forte justification économique, la réalisation de la ZLECAf nécessitera le renforcement des capacités institutionnelles pour achever les négociations et mettre en œuvre l’accord, avec la participation active du secteur privé et une coopération efficace entre les parties prenantes au niveau continental, régional et national.

Description de la facilité :

La Facilité d’assistance technique de Team Europe d’appui à la ZLECAf et l’intégration économique continentale (TE TAF), principalement par la réalisation de la ZLECAf. Il a deux objectifs spécifiques : 1. Mettre l’accent sur le renforcement de la capacité institutionnelle à coordonner les négociations, ainsi qu’à superviser la mise en œuvre de l’accord,  et 2. être un mécanisme efficace, réactif et flexible pour répondre aux besoins de l’Union africaine (Secrétariat de la ZLECAf, CUA et certaines agences spécialisées de l’UA), des CER, des États membres de l’UA et d’autres partenaires continentaux potentiels et organisations régionales du secteur privé, travaillant à la promotion de la ZLECAf et de l’intégration économique continentale.

 

Financé par l’UE, l’Agence française de développement, le ministère allemand de la coopération au développement (BMZ) et la Suède, le mécanisme d’assistance technique Team Europe sera mis en œuvre par la GIZ, Expertise France et la FIAPP sous la direction du secrétariat de la ZLECAf. Le TE – TAF est mis en œuvre par l’Unité de Gestion de Projet (UGP), basée au Secrétariat de la ZLECAf, à Accra, au Ghana, dont le mandat est de mobiliser l’assistance technique pour fournir des interventions qui favorisent l’amélioration de la mise en œuvre de l’accord. Chaque agence partenaire de mise en œuvre (Expertise France, GIZ et FIIAPP) est représentée dans l’UGP.

Justification du poste :

L’objectif général de la mission est d’aider le Secrétariat de la ZLECAf- Direction des douanes à développer une stratégie de dédouanement par voie rapide des marchandises urgentes et de secours telles que les denrées alimentaires et les produits pharmaceutiques. Sur la base de la stratégie développée, déployer des activités pour faciliter la collaboration entre les administrations douanières afin de mettre en œuvre des voies rapides pour le dédouanement des marchandises urgentes.

– Réaliser une étude diagnostique du flux de produits alimentaires et pharmaceutiques dans des postes frontières sélectionnés dans les huit CER reconnues par l’UA, en tenant compte des différents niveaux de développement.

– Élaborer une stratégie pour la mise en œuvre de voies rapides dans certains postes frontières des huit CER reconnues par l’UA.

– Proposer des activités pour la coopération douanière et les postes frontaliers sélectionnés.

Profil souhaité

Les consultants doivent posséder les qualifications suivantes :

Qualifications académiques :

Diplôme supérieur en économie, administration des affaires, commerce international ;

Expérience :

Au moins 10 ans d’expérience dans le domaine des douanes, de la facilitation du commerce et des procédures de transit.

Une expérience avérée dans la conduite d’analyses et l’élaboration de stratégies dans le domaine de la facilitation des échanges est un atout.

Exigences linguistiques :

Maîtrise de l’une des langues de travail de l’UA.

Informations complémentaires

Les consultants doivent posséder les compétences clés suivantes :

  1. Compétences linguistiques ;
  2. Bonnes capacités d’écoute et de communication
  3. Excellentes compétences en matière de rédaction de rapports ;
  4. Un esprit analytique et critique bien développé.

Date limite de candidature : 12/05/2023 23:59

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