L’AECF est une organisation de financement du développement de premier plan qui aide les entreprises à innover, à créer des emplois et à mobiliser des investissements pour renforcer la résilience et les revenus durables des communautés rurales et marginalisées d’Afrique. Son objectif est de combler le fossé d’investissement entre les jeunes entreprises et la maturité des entrepreneurs au service des communautés les plus pauvres.
L’AECF fournit des capitaux patients à des modèles économiques nouveaux et innovants dans les secteurs de l’agroalimentaire et des énergies renouvelables en Afrique subsaharienne, par le biais de divers instruments de financement, notamment des subventions, des prêts à taux zéro, des garanties et des facilités de fonds de roulement. Les produits de financement de l’AECF sont complétés par trois services supplémentaires de soutien à la croissance visant à améliorer la viabilité et la durabilité de nos entreprises bénéficiaires : (i) des services de conseil pour améliorer les capacités internes des entreprises bénéficiaires ; (ii) un soutien à l’investissement pour lever des capitaux commerciaux importants ; et (iii) des connaissances et des éclairages pour l’apprentissage et la collecte de données probantes en vue d’influencer les politiques et de plaider en faveur de ces dernières.
L’AECF a mis en œuvre avec succès des programmes dans 26 pays d’Afrique subsaharienne (ASS), soutenant plus de 536 entreprises, levant 480 millions de dollars de financement pour les programmes et mobilisant 840 millions de dollars de capitaux supplémentaires.
La nouvelle stratégie 2021-2025 de l’AECF vise à renforcer la résilience et les revenus durables des communautés rurales et marginalisées d’Afrique. Grâce à un financement catalytique, l’AECF met en lumière et soutient la commercialisation de nouvelles idées, de nouveaux modèles économiques, de nouvelles entreprises et de nouvelles technologies visant à accroître la productivité agricole, à élargir l’accès à l’énergie et à réduire la pauvreté, tout en abordant les thèmes transversaux des femmes et des jeunes.
2.0 Notre stratégie d’investissement axée sur le genre
L’ambition de l’AECF en matière d’investissement intégrant une perspective de genre découle de sa vision de créer une Afrique rurale prospère et entreprenante, qui se concrétise par notre mission de libérer le potentiel du secteur privé pour améliorer la vie des communautés rurales et marginalisées d’Afrique. Cette ambition est également détaillée dans la stratégie institutionnelle d’investissement intégrant une perspective de genre, qui décrit l’approche adoptée pour investir avec une perspective de genre de manière à favoriser un changement durable pour les populations rurales pauvres. Dans cette stratégie, l’AECF s’engage à atteindre des objectifs ambitieux : au moins 50 % de l’impact sur le développement bénéficie aux femmes dans l’ensemble du portefeuille d’investissement, 35 % des entreprises du portefeuille sont dirigées par des femmes et 40 % des emplois créés dans ces entreprises sont occupés par des femmes. Elle s’engage également à réorienter le processus d’investissement afin de trouver, de soutenir et de développer des entreprises qui proposent des solutions innovantes pour accroître l’égalité des sexes dans les communautés rurales, au niveau des ménages, des entreprises et des marchés.
La stratégie de l’AECF vise à intégrer une analyse de genre dans toutes ses activités d’investissement, ainsi qu’à concevoir et mettre en œuvre des processus d’investissement inclusifs permettant aux femmes entrepreneures et aux entreprises travaillant pour et avec des femmes d’accéder au financement sur un pied d’égalité. L’AECF s’efforce en permanence de recueillir et de partager ses expériences en matière d’intégration de la dimension de genre avec ses bailleurs de fonds, ses partenaires, ses bénéficiaires et divers écosystèmes des secteurs et chaînes de valeur dans lesquels elle investit. L’AECF intègre la prise en compte de la dynamique de genre dans sa culture, ses pratiques, ses politiques et ses processus, et encourage et incite ses bénéficiaires à faire de même. L’AECF souhaite renforcer sa voix et son leadership dans le domaine mondial de l’investissement avec une perspective de genre (GLI) afin de devenir la première institution d’investissement avec une perspective de genre en Afrique subsaharienne, conformément à l’une de nos trois valeurs fondamentales : « Prendre l’initiative ». Cette stratégie de genre soutient et renforce également d’autres valeurs fondamentales, notamment notre approche « Impact et Valorisation de nos collaborateurs » de manière inclusive.
3.0 À propos du programme Investir dans les femmes au Bénin et au Burkina Faso
Investir dans les femmes au Bénin et au Burkina Faso (IIW-B&BF) est un programme de six ans axé sur la transformation des genres et l’inclusion économique, mis en œuvre par l’AECF avec le financement d’Affaires mondiales Canada. Ce programme vise à autonomiser économiquement les femmes en tant qu’entrepreneures dans des secteurs d’activité à fort impact positif sur le climat, notamment l’innovation technologique, le numérique, l’agriculture, la production, la transformation, l’artisanat et le commerce, afin de lever les obstacles qui les empêchent de contribuer au développement de leurs activités.
Le programme vise à améliorer la participation et la résilience économique des femmes entrepreneures dans une économie plus verte au Bénin et au Burkina Faso. Il s’agit notamment d’améliorer l’accès au financement pour les PME détenues par des femmes, les coopératives de femmes et les femmes entrepreneures émergentes ; d’améliorer la capacité des femmes propriétaires et dirigeantes de PME et de coopératives de femmes à développer durablement les chaînes de valeur dans lesquelles elles travaillent principalement, en utilisant des approches intelligentes face au climat ; et de surmonter les résistances sociales et culturelles profondément ancrées à l’autonomisation des femmes aux niveaux national, sectoriel et communautaire.
4.0 Contexte de la mission
L’AECF recherche des experts en genre issus de groupes de consultants, d’organisations de défense des droits des femmes, etc. Les consultants doivent justifier d’une solide expérience des interventions axées sur le genre en Afrique de l’Ouest, et privilégier les personnes ayant une connaissance des contextes d’égalité des genres au Bénin et au Burkina Faso afin de garantir une connaissance du contexte régional. Ils sont appelés à fournir une gamme de services liés aux questions de genre et une assistance technique pour le programme IIW au Bénin et au Burkina Faso. Les experts en genre seront sous la supervision de l’équipe du programme IIW Burkina Faso et Bénin, principalement des experts en genre.
La mission
Les résultats attendus du programme sont :
- Amélioration des performances, de la résilience climatique et de la durabilité des micro, petites et/ou moyennes entreprises détenues par des femmes dans une économie plus verte
- Amélioration de l’environnement politique, juridique et réglementaire pour une participation efficace des femmes entrepreneures à une économie plus verte.
Pratiquement à la fin du programme, nous nous attendons à :
- Une augmentation d’au moins 50 % du nombre de PME dirigées par des femmes accédant aux services financiers
- « Augmentation de 25 % de l’utilisation de pratiques intelligentes face au climat par les femmes entrepreneures. »
- Deux politiques intégrant le genre et l’entrepreneuriat féminin et
- Articles en faveur des femmes entrepreneures
Le programme IIW-Bénin & Burkina comprend les principaux éléments suivants :
- Guichet 1 partie 1 : Investissement dans les PME (Petites et Moyennes Entreprises)
Pour les prêts concessionnels aux PME
- Affectation d’un fonds minimum de 50 000 dollars canadiens
- Et un montant maximum de 750 000 dollars canadiens
Pour les subventions aux PME (non remboursables)
- Affectation d’un fonds minimum de 50 000 dollars canadiens
- Et un montant maximum de 750 000 dollars canadiens
Le financement accordé aura un ratio subvention/participation d’au moins 1:0,5 (100 % subvention/50 % participation).
- Fenêtre 1 partie 2 : Investissement dans les institutions financières et les intermédiaires de services financiers (IF)
Pour les prêts concessionnels des IMF
- Affectation d’un fonds minimum de 150 000 dollars canadiens
- Et un montant maximum de 750 000 dollars canadiens
Pour les subventions auditées par les IMF (non remboursables)
- Affectation d’un fonds minimum de 100 000 dollars canadiens
- Et un montant maximum de 500 000 dollars canadiens
Pour les institutions financières et les intermédiaires de services financiers (IF), la gamme de financement, qui peut être une combinaison de subventions et de prêts ou de prêts à 100 %, est comprise entre un minimum de 100 000 et 1 000 000 de dollars canadiens.
- La durée du contrat de financement est de 4 ans.
Le financement accordé est accompagné d’un ratio subvention/participation d’au moins 1:1 (100% subvention/100% participation).
- Volet 2 : Investissement dans les coopératives et les organisations de femmes
- Affectation d’un fonds minimum de 75 000 dollars canadiens
- Montant maximal des fonds d’une valeur de 300 000 dollars canadiens
Le financement accordé présente un ratio subvention/participation minimum de 1:0,25 (100 % subvention / 25 % participation).
Toutes les contributions de contrepartie peuvent être en nature ou en espèces.
La durée du contrat de financement est de 4 ans.
Pays d’expérience :
- Bénin, Burkina Faso dans des secteurs agnostiques avec l’Agrobusiness comme priorité.
4.1 Rôles et responsabilités
Assistance technique
L’IIW-Bénin et Burkina Faso apportera un soutien technique en matière d’égalité des sexes et d’autonomisation des femmes, de gestion d’entreprise et d’agriculture climato-intelligente. L’assistance technique s’appuiera sur la force et le soutien de multiples parties prenantes, notamment des organisations professionnelles, des associations professionnelles, des organisations communautaires, des organisations de défense des droits des femmes (ODF), des institutions financières (IF) et des ministères et organismes gouvernementaux, notamment ceux chargés de l’agriculture, du genre, de l’environnement, du commerce et de l’industrie.
Les experts en genre collaboreront étroitement avec les ministères nationaux du genre, de l’agriculture, de l’économie, du commerce, etc. pour assurer l’alignement avec les politiques nationales et plaider en faveur de politiques économiques inclusives en matière de genre.
5.0 Livrables et calendrier
Les consultants/cabinets atteindront les objectifs ci-dessous dans trois domaines (Formation, Plaidoyer, Impact/Capitalisation) :
- Contribuer à l’expertise sur le lien entre l’inclusion des genres et la résilience climatique.
- Contribuer à l’autonomisation économique des femmes par l’entrepreneuriat dans les marchés fragiles et touchés par les conflits.
- Fournir des services de conseil aux banques, aux IMF et aux PME sur l’inclusion, l’intégration et la transformation du genre.
- Fournir des services de conseil pour intégrer l’inclusion de genre dans les modèles commerciaux et la conception de produits afin de maximiser l’impact et la rentabilité de l’entreprise.
- Fournir des conseils aux PME en matière de préparation à l’investissement et de facilitation des investissements aux investisseurs soucieux de l’égalité des sexes, notamment en promouvant les PME auprès d’un réseau préexistant d’investisseurs recherchant des investissements soucieux de l’égalité des sexes à travers le continent.
- Proposer des ateliers ou des activités de réflexion sur la conception, de création de sens et de connaissances collaboratives pour générer des produits de connaissance à partir des fonds et programmes GLI de l’AECF.
- Développer un produit de narration et de communication pour promouvoir la voix des femmes leaders, etc.
Les domaines spécifiques des prestations de conseil comprennent :
5.1 : Formation
Phase 1 : Atelier de démarrage et de définition du périmètre (semaine 1)
- Livrable 1 : Plan de travail et calendrier de la formation.
- Livrable 2 : Présentation des modules.
Phase 2 : Formation et rapport (semaine 2 à semaine 4)
- Livrable 1 : Liste générée des présences, documentation photographique et images
- Livrable 2 : Rapport écrit (20 p max – hors annexes)
5.2 : Plaidoyer
Phase 1 : Atelier de démarrage et de cadrage (2 mois)
- Livrable 1 : Plan de travail et calendrier de la mission.
- Livrable 2 : Présentation schématisant la stratégie de plaidoyer, incluant les arguments (maximum 10 diapositives).
Phase 2 – Rapports (1 mois)
- Livrable 1 : Comptes rendus de réunions avec des notes détaillées d’entretiens avec les partenaires et les groupes cibles, soulignant les défis et les réalisations.
- Livrable 2 : Rapport écrit (20 p max – hors annexes), comprenant un résumé d’une page résumant les principales recommandations/orientations stratégiques
5.3 : Impact/Capitalisation
Phase 1 : Réunion de démarrage et de cadrage (2 semaines)
- Livrable 1 : Plan de travail et calendrier de la mission.
- Livrable 2 : Présentation schématisant la démarche méthodologique de capitalisation (maximum 10 slides).
Phase 2 Début de l’impact/capitalisation (semaine 3 à semaine 12)
- Livrable 1 : Outils de collecte de données et pré-rapport (max 10 pages + annexes).
- Livrable 2 : Rapport de processus avec notes détaillées des entretiens avec les partenaires et les groupes cibles, Livrable 3 : Rapport écrit incluant des fiches de capitalisation
- Livrable 4 : Proposition de produits de capitalisation
5.4 Rapports et délais
- Délais de prestation de la formation : 1 mois
- Délais de prestation de plaidoyer : 3 mois.
- Délais d’impact/capitalisation : 3 mois.
6.0 Structure de paiement
La répartition des paiements ci-dessous sera basée sur les étapes clés par rapport aux livrables de la mission et sera payée après approbation satisfaisante par l’AECF.
7.0 Soumission de la proposition
Le(s) consultant(s)/cabinet(s) doivent démontrer les qualifications suivantes :
- Diplôme universitaire supérieur (au moins une maîtrise ou équivalent) en sciences sociales, en études de genre, en développement international ou dans un domaine pertinent au travail sectoriel de l’AECF.
- Au moins 10 ans d’expérience professionnelle à des niveaux de responsabilité de plus en plus élevés au niveau international dans le domaine du genre et du développement/de l’humanitaire.
- Expertise sectorielle dans l’un des secteurs suivants : agroalimentaire, autonomisation des femmes, engagement des jeunes, handicap et intersectionnalité des femmes.
- Capacité à contextualiser et à intégrer le genre dans les approches de programmes et d’intervention dans des écosystèmes complexes et fragiles.
- Capacités de formation des adultes dans de nombreuses thématiques liées au genre, au leadership, aux violences sexuelles et sexistes,
- Maîtrise du français ; la connaissance de la langue anglaise est un atout.
- Les experts en genre et les consortiums d’organisations de défense des droits des femmes sont encouragés à participer.
- Les propositions techniques et financières doivent être soumises sous forme de documents séparés.
8.0 Tarification
Les autorités fiscales kenyanes obligent l’AECF à retenir l’impôt sur les honoraires des contrats de services et à appliquer la TVA, à 16 %, le cas échéant. Les candidats doivent s’assurer de bien comprendre leur situation fiscale au regard des dispositions de la législation fiscale kenyane lors de l’élaboration de leurs propositions.
LES CONSULTANTS DOIVENT FOURNIR LEUR PROPOSITION FINANCIÈRE EN LIBRE-IMPÔT .
9.0 Critères d’évaluation
L’AECF constituera un comité d’évaluation composé d’employés. Tous les membres seront tenus aux mêmes normes de confidentialité. Le consultant devra s’assurer de répondre pleinement à tous les critères pour être évalué de manière exhaustive.
L’AECF peut demander et recevoir des éclaircissements de la part de tout consultant lors de l’évaluation d’une proposition. Le comité d’évaluation peut inviter certains ou tous les consultants à comparaître devant lui pour clarifier leurs propositions. Dans ce cas, le comité d’évaluation peut tenir compte de ces éclaircissements lors de l’évaluation des propositions.
Lors de la sélection finale des soumissionnaires qualifiés, la qualité technique de la proposition sera pondérée à 70 % selon les critères d’évaluation. Seules les propositions financières des soumissionnaires techniquement qualifiés seront ouvertes. La proposition financière sera pondérée à 30 % et les propositions seront classées en fonction du nombre total de points obtenus.
Les critères obligatoires et souhaitables selon lesquels les propositions seront évaluées sont identifiés dans le tableau ci-dessous.
Domaines clés d’évaluation/d’appréciation
Prix pondéré
(A) Proposition technique
70
- i) Une compréhension des exigences de conseil ;
- Démontrer une compréhension de la mission ( Formation sur le genre – 2 points, Plaidoyer – 1 point, Impact/capitalisation – 2 points, ne comprend pas – 0)
5
- Une compréhension approfondie des normes et tendances d’investissement intégrant une perspective de genre. Une compréhension de l’agriculture, des énergies renouvelables, de l’autonomisation économique des femmes, de l’engagement des jeunes, des contextes fragiles et du changement climatique dans les sous-secteurs d’Afrique subsaharienne constituera un atout supplémentaire, notamment pour (formation sur le genre – 4 points, plaidoyer – 3 points et suivi-évaluation – 3 points, ne comprend pas – 0)
10
- ii) Méthodologie et plan de travail qui offriront la meilleure valeur pour la mission :
- Démontrer la stratégie et la capacité à réaliser chaque tâche en tant que groupe de conseil dans un délai réaliste, soutenu par un bon rapport qualité-prix.
Plus précisément (formation sur le genre – 10 points, plaidoyer – 8 points et suivi et évaluation – 8 points)
26
- Une stratégie qui démontre la capacité à réaliser une partie de cette mission de manière virtuelle.
Plus précisément, sur (la formation au genre – 2 points, le plaidoyer – 1 point et le suivi et l’évaluation – 2 points)
5
- iv) Services pertinents fournis par le soumissionnaire dans le cadre de missions antérieures :
- Justifier d’une expérience pertinente et de collaborations récentes avec des entreprises du secteur privé en matière de préparation à l’investissement. Une expérience dans l’accompagnement d’entreprises et de projets de développement dans les sous-secteurs de l’agriculture et des technologies intelligentes face au climat en Afrique subsaharienne constitue un atout supplémentaire.
Plus précisément, pour (Formation sur le genre – 5 points, Plaidoyer – 5 points, S&E – 5 points)
15
- v) Liste de référence détaillée indiquant la portée et l’ampleur des missions similaires :
- Au moins 3 lettres de référence signées d’anciens clients ou associés du cabinet sont requises pour chaque expert, indiquant clairement le soutien antérieur fourni ainsi que la valeur et l’impact sur l’entreprise ou le projet soutenu.
(3 lettres pour un expert en formation sur le genre – 3 points, 3 lettres pour un expert en plaidoyer – 3 points, 3 lettres pour un expert en suivi et évaluation – 3 points)
9
(A) Proposition financière
- Clarté, pertinence, adéquation à la valeur marchande/rapport qualité-prix du coût de la mission (hors taxes).
- La proposition financière de phase 2 peut être une estimation indicative guidée par la méthodologie proposée pour les interventions.
30
Score total
100
- Clause de non-responsabilité
L’AECF se réserve le droit de déterminer la structure du processus, le nombre de participants présélectionnés, le droit de se retirer du processus de proposition, le droit de modifier ce calendrier à tout moment sans préavis, et se réserve le droit de retirer cet appel d’offres à tout moment, sans préavis et sans obligation d’indemniser et/ou de rembourser une partie.
Comment postuler ?
- Application
L’AECF est un employeur garantissant l’égalité des chances. Elle examine tous les candidats intéressés sur la base de leur mérite, sans distinction de race, de sexe, de couleur, d’origine nationale, de religion, d’orientation sexuelle, d’âge, d’état civil, de statut d’ancien combattant, de handicap ou de toute autre caractéristique protégée par la loi applicable.
- L’AECF invite les consultants/cabinets qualifiés à envoyer une proposition présentée en anglais ou en français à [email protected], clairement marquée « Termes de référence pour les experts en genre pour la formation-plaidoyer, la capitalisation du S&E au Bénin et au Burkina Faso », à recevoir au plus tard le 25 mars 2025 à 17 heures EAT, adressée au Département des achats de l’AECF.
- Toutes les clarifications et/ou questions doivent être envoyées à [email protected] avant le 17 mars 2025, 15 H 00.