C’est incontestablement un grand jour qui s’annonce pour ce pays africain. Ce samedi 22 novembre 2025 marquera à jamais son histoire.
En effet, l’Afrique du Sud, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, est sur le point de vivre un moment historique.
Ce samedi 22 novembre 2025, s’ouvrira à Johannesburg, le tout premier sommet du puissant Groupe des vingt (G20) sur le continent africain.
Ce moment emblématique réunira les dirigeants des plus grandes économies mondiales.
Ainsi, sont présents sur le sol sud-africain pour ce grand événement, le Premier ministre chinois Li Qiang, le président turc Recep Tayyip Erdogan, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre indien Narendra Modi, le président brésilien Lula da Silva et le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Cette rencontre de haut niveau sera également marquée par la présence du chef d’État angolais, João Lourenço, actuellement président en exercice de l’Union africaine.
Lors de ce sommet qui se tiendra les samedi 22 et dimanche 23 novembre 2025, sur le sol sud-africain, les enjeux climatiques, financiers et géopolitiques seront abordés.
Plus précisément, selon France 24, « il aura notamment pour ordre du jour la préparation aux catastrophes liées au climat, l’allègement de la dette, les minerais de la transition énergétique ou encore l’intelligence artificielle ».
En sommes, cette rencontre s’annonce historique pour le principal forum de coopération économique internationale entre les principales économies développées et émergentes de la planète, les G20.
Absence de Etats-Unis
Cependant, un titan du groupe a décidé de boycotter cette rencontre en Afrique du Sud : les États-Unis.
En effet, Washington a décidé de ne pas participer à ce sommet du G20 sur le territoire sud-africain.
Le président américain Donald Trump boycotte la rencontre. Il a décidé de ne pas effectuer le déplacement, mais également de ne pas envoyer un représentant américain à cette rencontre.
Depuis son retour à la Maison Blanche, les relations entre l’Afrique du Sud et les États-Unis connaissent des turbulences.
Le dirigeant américain accuse notamment l’Afrique du Sud de « violations des droits de l’homme » contre la population blanche afrikaner.
Mais, de son côté Pretoria a à plusieurs reprises, rejeté ces accusations.