Emerse Faé, le célèbre coach ivoirien, est de retour à Nantes, sa ville natale, avec un sentiment profond d’appartenance et de nostalgie.
Faé attaché à ses racines
Pour lui, cette ville est bien plus qu’un simple lieu de naissance ; c’est le berceau de son identité, le témoin de son parcours et le point de départ de ses rêves.
Dans ses propos empreints d’émotion, il exprime un attachement indéfectible à Malakoff, le quartier où tout a commencé pour lui.
Né et ayant grandi à Nantes, Emerse Faé ressentait le besoin viscéral de revenir dans sa ville d’origine, un retour qu’il avait initialement prévu pour l’été précédent.
Cependant, pour lui, ce retour ne pouvait être complet sans une escale incontournable à Malakoff, ce quartier emblématique qui a façonné ses premiers pas dans la vie.
C’est là que son histoire personnelle et sportive a pris racine, où chaque coin de rue raconte un épisode de sa jeunesse.
Sa décision de faire de Malakoff une étape essentielle de son retour à Nantes témoigne de l’importance capitale de ses racines dans la réalisation de ses aspirations.
À travers son exemple, il souhaite inspirer les jeunes issus de milieux défavorisés à croire en leurs rêves et à persévérer, que ce soit dans le sport, dans la discipline ou même dans les études.
Pour lui, l’origine sociale ne doit jamais être un obstacle infranchissable ; au contraire, elle doit être une source de motivation supplémentaire pour se surpasser et atteindre ses objectifs.
« Je suis né ici, j’ai grandi ici, j’ai tout fait ici. Je devais venir cet été, mais c’est inconcevable de rentrer à nantes sans passer par malakoff ( quartier d’enfance ).
C’est là où l’histoire a commencé. c’est un passage obligatoire, important et émouvant », a-t-il déclaré.
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