Ce jeudi 18 décembre 2025, l’argentier en chef de l’Élysée comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est accusé d’avoir volé plus d’une centaine de pièces de porcelaine utilisées lors des grands dîners d’État.
Cette affaire étonnante révèle un scandale inédit au cœur du palais présidentiel. Selon l’accusation, l’homme a profité de sa fonction pour subtiliser des tasses, assiettes et autres objets de valeur sur plusieurs mois.
Les enquêteurs affirment que ces vols ont duré plus de deux ans. Ils ont retrouvé de nombreuses pièces dans les mains de deux complices : un collectionneur passionné de porcelaine et un antiquaire lié à l’argentier.
Les trois hommes ont été interpellés le 16 décembre 2025 et placés en garde à vue. Lors des perquisitions, la police a récupéré une grande partie de la vaisselle dérobée.
Les enquêteurs précisent que certaines pièces avaient déjà été revendues à l’étranger, tandis que d’autres figuraient dans des collections privées.
Face au tribunal, l’argentier a reconnu certaines infractions mais nie un vol systématique. L’argentier en chef de l’Élysée a cependant démissionné de son poste à l’Élysée fin novembre 2025.
Ses complices, eux, ont affirmé avoir acquis les pièces sans savoir qu’elles provenaient du palais présidentiel. L’audience de ce jeudi n’a pas tranché définitivement l’affaire. Le dossier complet sera étudié lors d’une prochaine audience prévue en février 2026.
Cette affaire met en lumière des failles dans la gestion des biens précieux de l’État. Les pièces de porcelaine, utilisées lors de cérémonies officielles, représentent une valeur historique et financière importante.
La justice devra déterminer si la responsabilité de l’argentier justifie des sanctions pénales lourdes. Les complices pourraient également être poursuivis pour recel de biens volés.
Les médias français suivent l’affaire de près. Certains soulignent l’aspect rocambolesque de cette histoire, mêlant fonctionnaires, collectionneurs et antiquaires. D’autres s’interrogent sur le contrôle des biens au sein du palais présidentiel et sur la sécurité des objets historiques.
Ainsi, l’Élysée se retrouve au centre d’un scandale inédit. L’argentier en chef, le collectionneur et l’antiquaire sont désormais sous le regard de la justice.
La suite de l’affaire, attendue pour février 2026, pourrait révéler d’autres détails sur le vol de ces pièces de porcelaine et sur l’organisation interne du palais présidentiel. Nous y reviendrons.