Le rappeur ivoirien Elow’n, membre du célèbre groupe Kiff No Beat, a tenu à rétablir les faits. Dans une déclaration publique, il a formellement nié avoir contacté la police ou la PLCC (Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité) contre qui que ce soit.
Ce message intervient alors que des rumeurs circulaient sur une possible plainte de sa part.
« Je n’ai jamais appelé la police ni la PLCC pour qui que ce soit », a-t-il affirmé sans détour. Cependant, il a reconnu avoir adressé un avertissement à un artiste qui l’a cité dans une chanson. Pour lui, cette mise en garde visait uniquement à prévenir de nouvelles provocations.
Elow’n a précisé que ce n’était pas une menace, mais un rappel à l’ordre. « J’ai simplement averti cette personne. Nous ne sommes pas amis, et je ne veux pas que mon nom apparaisse dans ses morceaux », a-t-il clarifié. Cette sortie publique vise à clarifier les limites qu’il pose dans ses relations avec d’autres rappeurs.
De plus, il déplore les stratégies de provocation employées par certains artistes. « Certains espèrent te faire réagir en te poussant à adopter leur comportement. Mais avec moi, ça ne marche pas comme ça »,a-t-il poursuivi. Par cette phrase, Elow’n refuse de rentrer dans une logique de clash ou de buzz.
L’artiste insiste sur une règle simple : le respect. Selon lui, on ne cite pas quelqu’un que l’on ignore dans la vraie vie. « Si tu ne me salues même pas quand on se croise, ne t’attends pas à ce que j’accepte que tu utilises mon nom dans une chanson. »
Elow’n choisit ainsi de garder une posture ferme mais mesurée. Il ne s’engage pas dans les querelles publiques, mais il défend son image et son nom. Ce message, sans nommer l’artiste concerné, semble s’adresser à tous ceux qui envisageraient de le provoquer gratuitement.
À travers cette sortie, il envoie un signal : il préfère la dignité à la polémique, mais il ne laissera personne franchir certaines limites. Le cadre est posé. Le respect reste, pour lui, non négociable.