À l’approche des élections générales de 2026 au Bénin, le gouvernement de Patrice Talon a fait une mise en garde à l’ancien président Boni Yayi.
Le porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre HOUNGBEDJI, a affirmé que l’ordre et la sécurité publique seront préservés à tout prix.
Au Bénin, le gouvernement de Patrice Talon se prépare à organiser les premières élections générales de son histoire.
À huit mois des législatives, qui marqueront le début de ce long cycle électoral, les autorités multiplient les efforts pour garantir des scrutins apaisés, placés sous le signe de la paix et de la concorde nationale.
Les souvenirs encore vivaces des événements de 2019 incitent les autorités à la vigilance, et un message clair est adressé à ceux qui seraient tentés de semer le trouble.
En conférence de presse le 23 mai 2025, Wilfried Léandre Houngbédji a déclaré que, » tous les fauteurs de troubles devront être prêt à répondre de leur forfait devant les instances compétentes dans notre pays ».
Le gouvernement aura pour mission d’assurer la sécurité du pays, des électeurs et des candidats en lice..
« Dans tous les cas, dans l’entendement du gouvernement, il n’y aura pas de place pour le désordre, parce que nous avons le devoir de garantir la sécurité à nos compatriotes et la paix à notre pays. Les lois sont faites pour être appliquées », a-t-il renchéri.
Alors que les élections générales de 2026 approchent, le gouvernement de Patrice Talon et l’ancien président Boni Yayi restent au cœur des débats, reflétant les enjeux majeurs qui animent la scène politique au Bénin.