L’écosystème du bassin de la Volta regroupe les intérêts de divers pays de la sous-région. Pour travailler sur sa restauration, les six pays ont organisé une rencontre de discussion.
Cet atelier a pris place à Lomé le mardi 14 janvier 2025. Il a pour but la mise en œuvre du projet REWarD-Volta River Basin.
Ce plan provient de l’Autorité du Bassin de la Volta (ABV). En accord avec le ministère togolais de l’Eau et de l’Assainissement, ils veulent restaurer l’écosystème du bassin de la Volta.
Les pays qui profitent des ressources de ce bassin le Ghana, le Mali, le Togo, le Bénin, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.
Cela représente des millions de personnes dans la sous-région ouest africaine. La menace de déforestation dont fait face cet habitat revêt un caractère sérieux.
Sans oublier la pollution et les impacts du changement climatique. Le REWarD-Volta River Basin projette de reverser le changement que subi la zone.
Ce projet ambitieux consiste pour les gouvernements de renforcer la gouvernance transfrontalière et de promouvoir des pratiques de gestion durable.
Il faudra allouer un gros financement pour venir à bout de la détérioration de l’écosystème du bassin de la Volta, soutenu par des interventions concrètes.
Durant quatre jours, les experts régionaux se pencheront sur des thématiques telles que la gestion des eaux souterraines et l’évaluation des services écosystémiques.
M. Gninpale Konlani, coordonnateur de la structure focale nationale de l’ABV, estime que les initiatives de ce plan impacteront positivement les populations locales. Ils pourront profiter de l’agriculture et d’élevage à long terme.
Le directeur de cabinet au ministère de l’Eau, Affo Boni Adjama a indiqué que l’atelier représente une réponse de collaboration pour la bonne gestion des ressources naturelles du bassin.