Le développement d’un pays est tributaire des recettes engrangées, du paiement des impôts par les populations mais aussi des aides des institutions internationales.
Certains pays plus que d’autres parviennent à collecter le plus de recettes pour réaliser les nombreux projets destinés à changer le cadre de vie des populations.
Au Bénin, depuis 2016, année d’arrivée au pouvoir du président Patrice Talon, le pays s’est illustré positivement dans le rang des pays qui collectent le plus de recettes.
Pour l’année 2023, la tendance n’a pas changé. « L’administration publique béninoise a collecté 950, 844 milliards FCFA, à la fin du premier semestre de 2023, soit une augmentation de 142,135 milliards FCFA par rapport à la performance de l’année 2022 à la même période », a laissé entendre le gouvernement béninois lors du vote du budget de l’État, exercice 2024 au parlement.
Dans la même logique, les autorités béninoises ont fait savoir que « les administrations publiques représentent 51,7% de la prévision annuelle estimée à 1840 milliards FCFA à fin 2023 ».
Pour le parlementaire Gérard Gbénonchi, ces performances sont le fruit de la politique et des réformes mises en place par le gouvernement de la rupture.
Il a, par ailleurs, invité les populations à payer leurs impôts. Mieux, il a plaidé pour une gestion rigoureuse des finances publiques à travers une lutte implacable contre la corruption.
A l’en croire, c’est le seul chemin pour sortir le Bénin du cercle vicieux contre la pauvreté.
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