L’acte de naissance est le premier document important que doit posséder un enfant. Cependant, force est de constater qu’en Afrique de plus en plus d’enfants ne disposent pas de ce document.
Selon les données de l’Organisation internationale pour l’enfance (UNICEF), le pourcentage des enfants ne disposant pas d’un acte de naissance est de 22 %. Rien que dans les zones rurales, le taux pourrait atteindre 32 %.
La représentante de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Thi Hoang Mai Tran, s’est engagé pour combler ce déficit en apportant sa pierre aux pouvoirs publics à travers le projet « État civil ».
Comme elle le précise d’ailleurs, l’accès aux droits est étroitement lié à l’identité d’un enfant. C’est un enjeu crucial sur lequel nous concentrons nos efforts pour trouver des solutions adéquates.
Bien qu’une date spécifique pour le lancement de l’initiative ne soit pas encore rendue publique, rappelons que cette dernière est déjà en cours d’activité au Niger et à Madagascar.
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