Diddy : le rappeur dépose une requête visant à annuler 2 de ses condamnations

Diddy

Crédit Photo : Dia Dipasupil/Getty Images

Cela fait déjà plusieurs mois que quelques aspects négatifs de la vie du célèbre rappeur américain, P. Diddy, circulent sur la toile.

Peu de temps après le début de la circulation de toutes ces rumeurs, il a été arrêté et mis en prison, sans possibilité de payer une caution.

Il y a quelques semaines, le rappeur américain a fait une apparition devant le tribunal, qui l’a déclaré coupable pour juste 2 chefs d’accusation.

Ainsi, Diddy et son équipe de défense cherchent à faire annuler les deux condamnations pour pr0stitution. Si leur requête est rejetée, ils prévoient de demander un nouveau procès.

Selon des documents judiciaires, le magnat du rap déchu a demandé que sa condamnation pour des infractions liées à la pr0stitution en vertu de la loi fédérale Mann Act soit transformée en acquittement.

La loi Mann Act concerne le transport d’une personne à travers les frontières d’un État à des fins s3xuelles.

Mais les avocats de Diddy affirment qu’il est la seule personne jamais condamnée en vertu de cette loi à ne pas avoir tiré profit de la pr0stitution, à ne pas avoir eu de relations s3xuelles avec une prostituée présumée et à ne pas avoir organisé le transport de la prostituée.

Ils affirment que cela signifie que l’homme de 55 ans n’a commis aucun des actes stipulés dans la loi Mann.

Le procès de Diddy

Au cours du procès, aucune des travailleuses du s3xe, ni Cassie Ventura ou Jane n’ont témoigné que Diddy avait eu des relations s3xuelles avec les escortes engagées.

Elles ont toutes déclaré qu’il observait et/ou filmait les séances dites “freak-off” pendant que les femmes avaient des relations s3xuelles avec les travailleurs du s3xe.

Les témoignages ont également révélé que c’étaient généralement les femmes, et non le rappeur américain, qui s’occupaient des réservations de voyage et d’hôtel pour les escortes engagées.

La défense de Diddy souligne également que son implication s3xuelle relevait essentiellement du voyeurisme, et met en avant le fait que “plusieurs tribunaux d’État ont jugé que payer pour du voyeurisme, regarder d’autres personnes avoir des relations s3xuelles, ne constituait pas de la prostitution”.

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