L’affaire entre Debordo Leekunfa et Kerozen secoue à nouveau le monde du coupé-décalé. Depuis quelques heures, le chanteur Debordo est entre les mains de la justice ivoirienne à la suite d’une plainte déposée par Kerozen pour diffamation.
Cette procédure, désormais officielle, fait suite à des propos tenus par Debordo sur les réseaux sociaux, que son collègue a jugés diffamatoires.
Selon plusieurs sources proches du dossier, la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC) a convoqué Debordo Leekunfa pour audition.
Les faits reprochés découlent d’une déclaration publique dans laquelle Debordo Leekunfa aurait affirmé que Kerozen posséderait des armes.
Ces mots, considérés comme graves, ont immédiatement suscité la réaction du chanteur de “Mon Heure a sonné”, qui a décidé de saisir la justice pour défendre son image.
Face aux enquêteurs, Debordo Leekunfa a tenté de clarifier ses propos. Il a affirmé que ses paroles n’avaient aucune connotation violente.
“Quand j’ai parlé d’armes, je parlais de musique. Mon arme, c’est la chanson. Kerozen, lui, a des armes de destruction massive musicales”, a-t-il expliqué pour calmer les tensions. Cette précision n’a toutefois pas suffi à éteindre la polémique, car l’affaire est désormais entre les mains des autorités compétentes.
Depuis la révélation de la plainte, les réactions se multiplient sur la toile. Certains fans appellent à la réconciliation entre les deux stars, tandis que d’autres estiment que la justice doit trancher pour l’exemple.
Selon de nouvelles informations, Kerozen n’est pas le seul à porter plainte contre Debordo Leekunfa. Des sources ont fait mention de deux autres plaintes.
L’une d’entre elles est celle de Nama Bouaké production. Le promoteur de cette maison de production aurait porté plainte contre l’artiste pour une affaire d’engagement non honoré.
Et toujours selon ces sources, l’ex-ami de DJ Arafat serait déféré devant le parquet. Pour l’heure, l’on n’en sait pas plus. Mais nous vous tiendrons informés de la suite des événements.