Décidément, la géopolitique internationale bat son plein au Niger avec l’arrivée des putschistes au pouvoir.
D’un côté, il y en a qui sont pour une intervention militaire au Niger afin de faire revenir l’ordre constitutionnel.
De l’autre, il y en a qui ne veulent même pas entendre parler d’intervention militaire.
Dans le premier groupe, on peut clairement citer les États de la CEDEAO avec la France à l’appui.
Dans le second groupe, il y a la Russie et des pays africains comme la Mauritanie et l’Algérie. Ce second groupe vient d’être rejoint par les États-Unis.
Le Secrétaire d’État des États-Unis, Anthony Blinken, vient de faire une sortie qui prend le contre pied de la position française.
« Il n’y a pas de solution militaire acceptable au Niger », a déclaré le diplomate américain.
En clair, pour la diplomatie américaine, pas question de parler d’une intervention militaire au Niger quelle que soit l’issue de la crise.
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