Depuis le coup d’État qui a secoué le Niger le 26 juillet dernier, le pays est plongé dans une période d’incertitude et de débat intense.
La situation au Niger s’est avérée complexe depuis le coup d’État, laissant les observateurs et les analystes internationaux se pencher sur les implications politiques et sociales de cet événement.
Les discussions ont oscillé entre la nécessité de renverser les putschistes et la possibilité de les maintenir au pouvoir, créant ainsi un débat animé.
Au milieu de ces débats, l’opinion publique a commencé à jouer un rôle crucial. Les médias sociaux, les forums en ligne et même les publications traditionnelles ont été le théâtre d’une variété d’opinions sur l’avenir politique du Niger.
Pourtant, un sondage mené par The Economist à Niamey a jeté une lumière nouvelle sur les tendances de pensée de la population locale.
Le sondage a révélé une perspective étonnante : près de 80% de la population sondée soutiendrait le maintien des militaires au pouvoir, malgré l’origine controversée de leur prise de contrôle.
Ce niveau de soutien inattendu envers les putschistes reflète les préoccupations et les espoirs de la population, en particulier dans un contexte de troubles politiques et de tensions régionales.
L’enquête a capturé les voix de ceux qui estiment que le camp au pouvoir offre une stabilité nécessaire dans des moments tumultueux et une réponse potentielle aux défis socio-économiques auxquels le pays est confronté.
Cependant, il est important de noter que ce soutien peut également être influencé par divers facteurs, tels que les perceptions locales, les considérations de sécurité et les inquiétudes quant à l’avenir.
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