La réplique de Maa Bio n’a pas tardé après les accusations lancées par Oyoki Onanayo à son encontre. L’influenceuse est sortie de son silence.
Fidèle à son style direct et sans détour, la mère du vécu a utilisé sa page Facebook pour répondre point par point aux propos de l’artiste. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’a pas mâché ses mots.
En effet, Oyoki avait affirmé que Maa Bio avait exigé 1 million de francs CFA et un Van pour assister à sa conférence de presse. Une demande qu’il avait jugée disproportionnée, affirmant lui-même ne pas avoir bénéficié d’un tel traitement malgré son statut d’artiste principal.
Face à ces déclarations, Maa Bio a tenu à rétablir sa version des faits. « Je n’ai jamais demandé 1 million et un van… Mais bon, si tout ça peut donner un peu de buzz et mettre en lumière ton concert, pas de souci », a-t-elle écrit dans une première publication. Par ces mots, elle insinue qu’Oyoki cherche avant tout à faire parler de lui.
Puis, dans un ton plus moqueur, elle a poursuivi : « J’ai pas pris van pour aller au stade », en référence au concert de Didi B qui s’est tenu dans un cadre bien plus prestigieux.
Elle ajoute ensuite avec ironie : « C’est dans concert dans les gazons du palais que je vais faire entrée fracassante avec van ? Petit la ment heiiiin Ahii ».
Avec ces publications en rafale, Maa Bio a voulu démontrer qu’elle n’avait aucun intérêt à poser de telles exigences pour un événement qu’elle considère modeste.
Elle continue en disant : « Je sais que c’est pas facile de me croire hein, mais croyez en moi. Je dis il ment sur moi ahi. Van pour aller dans conférence de presse ? Aaah les gars ».
En adoptant un ton mêlant humour, sarcasme et émotion, Maa Bio retourne la situation à son avantage. Elle dénonce une tentative de manipulation de la part d’Oyoki, tout en invitant ses abonnés à la croire.
Ce nouvel épisode relance le débat autour des tensions entre artistes et influenceurs. Si certains soutiennent Oyoki Onanayo, beaucoup saluent la manière avec laquelle Maa Bio a retourné la polémique avec panache et répartie.
La guerre des mots est lancée, et elle se joue désormais à coups de statuts viraux. Nous y reviendrons.