Côte d’Ivoire : en voulant se venger de son ex-employeur, il commet l’impensable et finit à la PLCC

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Crédit photo : PLCC

En Côte d’Ivoire, la PLCC a réussi à arrêter un employé voulant se venger de son ex-employeur à travers les réseaux sociaux. Sur sa page Facebook, la PLCC a décrit le récit de la mission que voici :

« L’histoire de BBM, jeune entrepreneure ivoirienne, montre à quel point les réseaux sociaux peuvent être une arme à double tranchant.

Le rêve : une réussite portée par les réseaux sociaux Passionnée et déterminée, BBM lance son salon de coiffure spécialisé dans les dreadlocks.

Avec des publications attractives, elle conquiert rapidement une large clientèle. Face à ce succès, elle décide de recruter KSH comme assistant pour l’aider à organiser ses activités.

Une collaboration prometteuse… puis des désillusions. Tout se passe bien jusqu’à ce que les plaintes des clients commencent à affluer, pointant du doigt le travail de l’assistant.

BBM, soucieuse de préserver sa réputation, lui accorde une chance de se rattraper avec une mise à pied temporaire. Malheureusement, rien ne change. Elle se voit contrainte de mettre un terme définitif à leur collaboration.

Le cauchemar : des attaques à peine voilées en ligne

Quelques semaines après, l’ex-assistant fait des critiques acerbes qui envahissent les réseaux sociaux, ternissant l’image de BBM et de son salon. Inquiète, elle saisit la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC), une unité de l’ANSSI-CI.

L’enquête révèle une intention de nuire Les investigations aboutissent à l’interpellation de l’ancien assistant.

Ce dernier prétend qu’il ne faisait que partager son expérience professionnelle via TikTok, affirmant ne pas avoir cité BBM directement. Pourtant, les dégâts sont bien réels.

Une affaire portée devant la justice

KSH devra répondre devant le parquet pour atteinte à l’honneur et à l’image par voie électronique.

Leçon à retenir : Les réseaux sociaux sont un outil puissant, mais entre de mauvaises mains, ils peuvent briser des réputations et des rêves. Soyons responsables et respectueux en ligne », lit-on sur la page Facebook de la PLCC ce vendredi 11 avril 2025.

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