Ces derniers jours, la toile ivoirienne a été choquée par les publications d’une influenceuse algérienne qui a traité le peuple ivoirien de « préhistorique ».
Dans ses contenus, Sofia Benlemmane a même indiqué que son pays ne devrait pas faire partie de l’Afrique. Ces propos ont choqué énormément de personnes et plusieurs ont demandé à ce qu’elle soit expulsée du pays et ne puisse pas suivre la CAN.
Les autorités ivoiriennes ont donc pris l’affaire au sérieux en expulsant et interdisant Sofia de la Côte d’Ivoire à vie. Désormais, elle n’aura plus la chance de fouler le sol ivoirien jusqu’à la fin de ses jours.
Après le dossier Sofia Benlemmane, place maintenant à une autre affaire qui fait le buzz sur la toile. Une influenceuse camerounaise du nom de Mayole Francine a publié une vidéo dans laquelle elle démontre que la ville d’Abidjan a aussi des zones poussiéreuses.
C’était en effet une réponse à plusieurs autres publications d’Ivoiriens qui traitaient les villes camerounaises d’être poussiéreuses à cause du manque d’infrastructures routières.
La sortie de Mayole Francine n’aurait pas plu à plusieurs Ivoiriens qui considèrent qu’elle aussi n’a pas respecté leur pays et par conséquent devrait être aussi expulsée.
Cependant, il faut noter que depuis plusieurs années déjà une parenté à plaisanterie est née entre les peuples ivoiriens et camerounais.
La réaction de l’influenceur Cheik Mohamed Kader à propos de la Camerounaise Mayole Francine
Les deux se permettent des moqueries parfois très accentuées. Contrairement à ceux que demandent certains sur la toile, l’influenceur Cheik Mohamed Kader a tenu à calmer le jeu en taclant amicalement Mayole Francine.
« Pour l’Algérienne, j’étais d’accord. Mais pour la petite Camerounaise, c’est un attachement réciproque. Si on la rapatrie, on va gâter la petite chose qui nous lie », admet Kader.
Il poursuit en disant : « Tout le monde sait qu’en matière d’infrastructures, on est incomparable ! Pour la terre rouge, il fallait à tout prix trouver ça quelque part à Abidjan pour se sentir chez elle ! Au Cameroun, on va se promener toute une semaine pour trouver le goudron ».