À la COP28 de Dubaï, les représentants de 200 nations participantes se sont unanimement mis d’accord sur un compromis révolutionnaire visant à progressivement abandonner les énergies fossiles.
Ce texte a été salué par des applaudissements nourris et une ovation debout à son adoption.
C’est la première fois dans l’histoire des conférences sur le climat des Nations unies qu’une décision mentionne explicitement la responsabilité de toutes les énergies fossiles dans le dérèglement climatique.
L’enthousiasme et l’optimisme ont accompagné cette décision sans précédent.
Ce compromis, minutieusement élaboré par les Émirats arabes unis, a été conçu pour répondre aux points de vue divergents des différentes nations présentes.
En employant le terme de « transitionner hors des énergies fossiles » au lieu de « phase-out » , le texte a évité un blocage potentiel en laissant une certaine ambiguïté dans les formulations
L’adoption de cette décision n’a pas été sans susciter quelques réserves.
Cependant, l’émissaire chinois pour le climat, Xie Zhenhua, est apparu optimiste et satisfait, exprimant son soutien envers cette initiative.
Une des raisons de ce succès réside dans l’éviction des possibles objections de dernière minute, conformément aux règles de l’ONU Climat.
Une telle issue aurait pu venir de certaines puissances de notre planète, mais leur accord a permis à cette décision historique de voir le jour.
Restez à jour en vous abonnant à notre canal Telegram.