L’année 2023 témoigne d’une diversité de nations vantant certaines des constitutions les plus vastes du monde, chacune étant un témoignage des cadres juridiques complexes qui façonnent leur gouvernance.
En tête de liste se trouve l’Inde, avec une constitution substantielle s’étendant sur un impressionnant total de 146 385 mots, reflétant la complexité et la profondeur de ses dispositions légales.
Suivent de près le Nigeria, le Brésil et la Malaisie, chacun avec des constitutions dépassant les 64 000 mots, signe des structures juridiques nuancées qui sous-tendent leurs gouvernements respectifs.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Mexique et le Pakistan émergent avec des comptes de mots notables, soulignant la nature exhaustive de leurs documents constitutionnels.
Le Zimbabwe, l’Équateur et le Royaume-Uni figurent également en bonne place, chacun avec des constitutions dépassant la barre des 58 000 mots.
Le Ghana, Saint-Kitts-et-Nevis, l’Ouganda et le Kenya mettent en évidence la diversité des longueurs constitutionnelles, avec le document fondateur de chaque nation variant de 49 643 à 48 604 mots.
L’Eswatini, la Nouvelle-Zélande, la Colombie et le Fonds monétaire international (FMI) contribuent à cette fresque mondiale, avec des longueurs constitutionnelles variant entre 48 438 et 46 221 mots.
Une exploration plus approfondie révèle les paysages constitutionnels du Guyana, du Lesotho, de la Sierra Leone et de la Gambie, chacun offrant des cadres juridiques uniques au sein de leurs constitutions de 45 532 à 44 636 mots.
L’Afrique du Sud, les Bahamas, l’Autriche, les Fidji, le Myanmar, le Sri Lanka, Singapour, les Seychelles, le Belize, la Bolivie, Antigua-et-Barbuda, Sainte-Lucie, la Jamaïque, le Venezuela, Maurice, Chypre, la Dominique et la Tanzanie font de même, mettant en lumière la riche diversité des structures légales dans le monde.
Le Portugal, avec sa constitution de 37 006 mots, se distingue parmi les nations contribuant à cette mosaïque constitutionnelle mondiale.
La liste se conclut avec diverses nations, chacune avec des longueurs constitutionnelles variant de 36 080 à 35 219 mots, soulignant le large spectre des intrications légales qui façonnent la gouvernance à travers le monde.
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