Au Congo, une étape cruciale vers la paix a été franchie le samedi 6 avril sous l’impulsion du Président Félix Tshisekedi.
Après deux ans de conflit opposant les communautés Téké et Yaka sur des questions foncières, un accord a été signé, marquant ainsi le début d’une ère de réconciliation.
Les tensions entre les communautés Téké et Yaka, en proie à un conflit territorial depuis 2022, semblaient insurmontables.
Mais grâce aux efforts déployés par le gouvernement, ces deux factions ont finalement trouvé un terrain d’entente.
L’accord d’engagement global et inclusif pour la paix et la stabilité, signé dans les provinces de Maindombe, Kwango, Kwilu, Kongo central et Kinshasa, met un terme aux hostilités. Elle ouvre la voie à des solutions pacifiques pour résoudre la crise.
Dans son allocution, le Président Félix Tshisekedi a exprimé sa gratitude envers les chefs coutumiers, leur promettant sécurité et protection.
Il s’est engagé personnellement à descendre sur le terrain et à honorer ces chefs coutumiers pour leur rôle crucial dans le processus de pacification.
Cette réconciliation historique a suscité des réactions positives à travers le pays. Sur les réseaux sociaux, de nombreux citoyens du Congo saluent l’approche pacifique du Chef de l’État, Félix Tshisekedi.
Un internaute a réagi en disant : « Nous saluons ce côté pacifiste du chef de l’État. »
Il a souligné également l’importance d’une présence gouvernementale efficace sur l’ensemble du territoire pour prévenir de futurs conflits.
Cependant, certains Congolais restent prudents. Ils craignent un retour aux hostilités si les causes profondes du conflit ne sont pas résolues de manière adéquate.
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