S3xt@pe de Christelle Eboa : les sanctions tombent ; plusieurs cadres de la police ont été…

Cameroun Policières p@r-t0uze Scandale Christelle Eboa S3xt@pe

Crédit Photo : DR (image d'illustration)

Quelque temps après la diffusion de la s3xt@pe de la policière Christelle Eboa, les sanctions sont tombées. Nous vous faisons le point.

Durant la fin du mois de juillet 2025, un scandale s3x-µel a secoué le Cameroun. À Yaoundé, une s3xt@pe mettant en scène des agents de haut rang, dont deux femmes policières, a circulé sur les réseaux sociaux.

La vidéo, tournée dans un cadre professionnel supposé être un commissariat, a immédiatement provoqué un tollé.

Après la diffusion des images qui ont choqué la toile, les autorités ont réagi. La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) a suspendu les personnes impliquées.

Le commissaire divisionnaire Josué, jusque-là délégué régional pour la région du Centre, figure parmi les premiers sanctionnés.

Les deux femmes policières, dont Christelle Eboa, ont également été suspendues. Il s’agit là d’une réponse rapide, visant à préserver l’image de l’institution.

Par ailleurs, le commissaire Armand A. a été nommé à titre intérimaire pour remplacer Josué. Ce remplacement immédiat montre la volonté de la hiérarchie policière de maintenir la stabilité au sein du commandement régional.

En parallèle, la DGSN a lancé une enquête administrative via sa direction du contrôle interne. Cette instance, chargée d’assurer la discipline au sein du corps, doit établir la chaîne de responsabilité et déterminer l’origine de la fuite. Les sanctions définitives dépendront des conclusions de cette enquête.

Au-delà des mesures administratives, le dossier pourrait connaître des implications judiciaires. En effet, au Cameroun, la loi pénalise l’h0m0s3xµalité.

Si les faits sont considérés comme entrant dans ce cadre, les agents concernés pourraient alors faire face à des poursuites. Mais de son côté, la policière Christelle Eboa s’est retrouvée au cœur de l’actualité après la publication de la s3xt@pe.

Pour cause, une page Facebook portant son nom a multiplié les publications pour présenter des excuses et dénoncer également des harcèlements qu’elle aurait subis.

À travers cette affaire, la police camerounaise se retrouve face à un défi majeur : restaurer la confiance du public tout en renforçant la rigueur interne. Nous y reviendrons.

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