A l’instar de tous les journalistes, Gilles Bouleau se préparait à accueillir le roi Charles III en France. Si cet événement n’a finalement pas eu lieu, le journaliste de TF1 a partagé des souvenirs qu’il vit avec le monarque.
En effet, en 1992, le fils de la reine Elizabeth II se rend au Parlement européen à Strasbourg. Une venue qui a marqué le présentateur de la première chaîne qui a dévoilé les dessous de sa rencontre avec le prince Charles.
Couronnement de Charles III : voici ce que planifie le roi pour éviter le clash entre ses fils
« Il a deux gardes du corps, mais qui sont discrets, pas comme les gardes du corps de Rihanna ou d’un chef d’État ‘normal’. Il ne peut pas vous rabrouer en disant : ‘Je ne veux pas vous répondre.' », commence-t-il par raconter.
Gilles Bouleau continue sa narration : « Et donc, je m’approche du prince Charles, vraiment à un mètre de lui, et je lui pose une question toute bête qui était : ‘Comment s’est passée la journée ?’ Et là, je vois que les gardes du corps regardent les pieds du prince Charles. Je me demande : ‘Mais pourquoi ils regardent ses pieds ?' », s’est-il demandé.
Mais alors quel est ce surprenant intérêt pour les pieds du prince Charles ? « J’ai compris car le garde du corps me l’a expliqué après. Il y a un code très simple : si le prince accepte de discuter avec vous, il arrête et ses deux pieds sont parallèles au sol. Ça veut dire : ‘Je m’arrête, j’accepte de discuter avec vous’, et donc les gardes du corps vous laissent vous rapprocher ».
Mais attention, si c’est le contraire. « Si ça l’embête et qu’il est fatigué, il marche comme ça et ça veut dire : ‘Je ne veux pas parler à ce triste individu, journaliste à TF1.’ Et donc j’ai appris, car j’ai revu le prince Charles à pas mal d’occasions quand j’étais correspondant à Londres, que c’était ça le code. On ne vous prend pas avec des gros muscles en vous mettant à côté ».
Pour être au parfum de l’actualité, rejoignez notre canal Telegram en cliquant ici.