La 52ᵉ édition du marathon de New York a été marquée par la suprématie des athlètes africains, à savoir les Kényans et Éthiopiens, qui ont trusté les podiums masculin et féminin.
Chez les hommes, l’Éthiopien Tamirat Tola s’est imposé en établissant un nouveau record de l’épreuve en 2h04min58sec. Il devance le Kenyan Albert Korir et l’Éthiopien Shura Kitata.
Du côté des femmes, la Kényane Helen Obiri l’emporte en 2h27min23sec. Elle précède sa dauphine éthiopienne Letesenbet Gidey et sa compatriote Sharon Lokedi qui complète le podium.
Cinq autres Africaines finissent également dans le Top 10. Une nouvelle démonstration de force des athlètes kényans et éthiopiens, qui confirment leur domination sur le mythique marathon new-yorkais.
Grâce à leurs qualités physiques hors normes et leur volonté sans faille, ils survolent les courses d’endurance depuis des décennies. Et ne laissent que des miettes à leurs adversaires sur ces épreuves exigeantes, quel que soit le continent.
Cette razzia à New York témoigne une fois de plus de l’invincibilité de ces champions africains sur la distance reine du marathon. Leur hégémonie ne semble pas prête de faiblir.
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