La tenue ou non des sanctions contre le Mali, le Burkina et la Guinée était conditionnée au sommet de l’Union Africaine (UA) et à une réunion de la CEDEAO.
Et ce 19 février, la sentence est à nouveau tombée pour les trois pays.
Concrètement, alors que le 36e sommet de l’Union Africaine se tenait à Addis-Abeba, les trois nations ont envoyé des délégations sur les lieux.
Et ne pouvant pas réellement assister au sommet en raison de leur éjection de l’union, les délégations ont fait une réunion avec des cadres de la communauté économique.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat n’est pas ce qui était escompté.
Et pour cause, si le Burkina, le Mali et la Guinée avaient demandé que les sanctions décrétées contre eux soient levées, la CEDEAO a été implacable.
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Cette dernière a donc affirmé leur maintien.
La décision de ce maintien a par ailleurs été rendue publique au travers d’un communiqué en date du 19 février.
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