Ce pays d’Afrique du Nord booste son infrastructure numérique grâce au…

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Crédit photo : DR

La Mauritanie, pays d’Afrique du Nord a boosté son infrastructure numérique grâce au câble EllaLink.

En effet, la Mauritanie a décidé de franchir un nouveau palier dans le développement de son réseau numérique. Dans cette dynamique, elle a lancé un projet structurant : la mise en place d’une station d’atterrissement destinée à accueillir un second câble sous-marin à fibre optique.

D’après Agence Ecofin, « cette initiative marque une avancée significative vers une amélioration durable de la qualité de la connexion Internet dans le pays ».

Ce nouveau câble, baptisé EllaLink, a été conçu pour entrer en service à l’horizon 2028. Dès sa mise en exploitation, il a permis une capacité initiale de 200 gigabits par seconde, avec une extension possible jusqu’à 500 gigabits

À terme, sa capacité totale a pu atteindre 12 térabits, offrant ainsi une réponse concrète à la demande croissante en bande passante observée sur l’ensemble du territoire.

Grâce à l’appui financier de la Banque européenne d’investissement, les autorités mauritaniennes ont concrétisé un projet clé en matière de transformation numérique. Cette initiative s’ inscrit dans une stratégie nationale ambitieuse visant à dynamiser l’économie, moderniser les services publics à travers l’administration électronique et réduire les inégalités d’accès au numérique.

Au-delà du renforcement de la robustesse du réseau local, cette infrastructure représente un espoir de baisse des tarifs Internet à moyen terme.

De nombreux utilisateurs se sont encore plaints d’un service lent et coûteux, en particulier dans les régions périphériques.

Pour le gouvernement, le câble EllaLink a été envisagé comme un outil stratégique capable de séduire les investisseurs, de stimuler l’innovation locale et de générer des opportunités d’emploi dans les technologies de l’information.

En étendant ses connexions internationales, la Mauritanie, pays d’Afrique du Nord a clairement affirmé sa volonté d’intégrer la dynamique des pays africains ayant misé sur l’infrastructure numérique comme accélérateur de développement.

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