Il s’agit là d’un président qui a vu son mandat d’une durée normale de 7 ans s’écourter à seulement 52 minutes à cause d’un coup d’État.
À peine, l’homme a été reconnu vainqueur des élections présidentielles, que l’armée a décidé de le dégager.
La scène s’est produite le 30 août dernier au Gabon avec l’ex président gabonais, Ali Bongo.
Le Centre Gabonais des Élections venait de proclamer Ali Bongo vainqueur des élections présidentielles du 26 août dans la nuit profonde.
Moins d’une heure après, celui qui devait alors briguer un troisième mandat à la tête de son pays a été arrêté par l’armée et décharger de son pouvoir de chef d’État.
En clair, pour son troisième mandat, il n’aura eu à en jouir que seulement 52 minutes.
Autrement dit, le nombre de minutes qui a séparé la proclamation des élections et la prise du pouvoir par l’armée.
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