Blessé depuis de longs mois, Carvajal s’est exprimé sur l’adaptation de Kylian Mbappé au Real Madrid.
Présent au gala annuel de l’Association de la presse sportive de Madrid, le défenseur madrilène s’est adressé aux médias.
Carvajal a parlé de sa récupération, de la situation du club, des critiques sur Carlo Ancelotti ou encore de l’intégration de Mbappé dans le vestiaire du Real Madrid.
Ci-dessous, l’intégralité de son interview :
Une longue absence : « Vous vous sentez comme un footballeur quand vous êtes sur le terrain. Mais il faut aussi profiter du processus de récupération. Bien récupérer et essayer d’être de retour le plus vite possible. »
Comment se passe sa récupération ? « À vrai dire, ça se passe très bien, je progresse jour après jour. Je suis en très bonne voie de guérison. Sans trop d’inconvénients, ce qui est le plus important. »
Allez-vous retrouver votre niveau d’avant blessure ? « Je n’en doute pas. »
Ancelotti critiqué : « En fin de compte, dans ce monde du football, vous passez du paradis à l’enfer en deux semaines après deux défaites.
Je ne pense pas qu’il faille enterrer l’entraîneur, vous pouvez voir tout au long de sa carrière et comment, avec nous, il a gagné deux Ligues des champions en trois ans alors que les gens doutaient beaucoup de lui et vous devez apprécier cela, c’est un entraîneur fantastique. »
Kylian Mbappé : « Il marque beaucoup de buts. Il s’est très bien adapté au groupe depuis le premier jour et j’espère qu’il continuera à marquer des buts. »
Le meilleur joueur du monde ? « Je ne sais pas, il faut attendre la fin de la saison pour savoir qui est le meilleur au monde, parce que c’est influencé par la réussite collective et c’est un point important pour décider qui est le meilleur au monde, mais il est dans le top 3. »
Mbappé est-il un leader ? « C’est clairement un leader. C’est l’un des meilleurs joueurs du monde, si ce n’est le meilleur. Il s’est intégré au groupe dès le premier jour de manière fantastique, c’est un garçon fantastique et il est l’un des nôtres, j’ai l’impression qu’il est avec nous depuis cinq ou six ans. »