Au Ghana, l’Autorité nationale des communications (NCA) a récemment annoncé de nouvelles réglementations strictes pour l’utilisation des cartes SIM préenregistrées.
Les cartes SIM permettent aux utilisateurs de téléphone de communiquer. Toutefois, certains abonnés les utilisent à de mauvaises fins.
À titre d’exemple, certains escrocs envoient des messages à des jeunes en quête d’emploi pour leur promettre des opportunités.
« Bonjour, c’est la secrétaire. Nous voulons vous informer que votre dossier est accepté. Envoyez de l’argent sur ce numéro pour confirmer votre place ».
Tel est le message que certains jeunes reçoivent. Dans l’euphorie, ils envoient la somme demandée avant de se rendre compte de la supercherie.
Lorsque les victimes portent plainte, les autorités peinent à retrouver le propriétaire du numéro. Les escrocs disposent de plusieurs cartes SIM et ils se débarrassent de celles qui peuvent permettre de remonter jusqu’à eux.
La Fin de l’utilisation des SIM illégales
Ces dernières années, le Ghana a été témoin d’une utilisation croissante de cartes SIM préenregistrées. Désormais, cette pratique doit cesser.
La NCA est ferme. Toute personne ou entité impliquée dans l’utilisation de cartes SIM préenregistrées doit cesser immédiatement cette pratique, sous peine de sanctions conformément à la loi.
Les consommateurs, qu’ils soient citoyens ghanéens ou étrangers en visite, sont également mis en garde contre l’utilisation de ces cartes SIM illégales.
Tous ceux qui souhaitent utiliser une carte SIM au Ghana doivent suivre la procédure légale.
Les Ghanéens doivent utiliser leur carte nationale d’identité biométrique. Les étrangers en visite peuvent utiliser leur passeport pour s’enregistrer conformément à la loi.
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