CAN 2023 : la chanson « Coup du marteau » crée un nouveau phénomène

Coup du marteau CAN 2023

Crédit Photo : RMC Sport / Youtube / Capture Clip officiel

Depuis le début de la CAN 2023, les Ivoiriens se sont pris un malin plaisir à narguer leurs adversaires déjà vaincus au rythme de la chanson « Coup du marteau » de Tam Sir.

Néanmoins, le phénomène de cette chanson devenue d’un coup bien plus célèbre que l’hymne officielle de la compétition semble avoir pris une ampleur plus grande qu’il n’y parait. C’est ce qu’il est possible de comprendre à travers les informations de nos confrères de RFI.

En effet, à leurs dires, « Coup du marteau » a déjà « détrôné » l’hymne officielle de la CAN 2023. Mieux encore, certaines équipes ont déjà fait usage de cette dernière pour célébrer un but.

Pourquoi « Coup du marteau » est devenue aussi populaire lors de cette CAN 2023 ?

Tout est parti d’une idée de Tam Sir, un jeune beatmaker ivoirien. En décembre dernier, alors que la CAN approchait, il a décidé de composer un morceau pour ambiancer les stades et soutenir les Éléphants.

Le résultat : « Coup du marteau », avec son instrumental entraînant inspiré des chants des supporters officiels de la sélection.

Rapidement, la chanson fait sensation auprès des fans ivoiriens. Sa chorégraphie ultra-simple, avec ses deux pas de danse mimant un coup de marteau, est reprise à l’unisson dans toutes les tribunes du pays. À chaque but des Éléphants lors la CAN 2023, la célébration se fait désormais au son du « Coup du marteau ».

Succès international

Mais le tube dépasse rapidement les frontières de la Côte d’Ivoire. Au Cameroun, au Sénégal ou au Maroc, il rythme les célébrations des supporters après chaque but inscrit par leur équipe.

Même le PSG s’y met avec une vidéo virale du joueur Hugo Ekitike chantant le morceau dans sa voiture.

Sur YouTube, le clip officiel de « Coup du marteau » culmine à près de 20 millions de vues. Sur TikTok et les réseaux sociaux, les challenges se multiplient.

Un engouement inattendu pour Tam Sir, le créateur. « Je suis étonné, mais reconnaissant, avoue-t-il. J’ai essayé de mélanger les rythmes traditionnels ivoiriens avec l’énergie du coupé-décalé. Cette fusion plaisante à beaucoup de monde apparemment ! »

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