A quelques heures du match de demi-finale entre la Côte d’Ivoire et la RD Congo, prévu pour ce mercredi 7 février 2024, la première dame, Dominique Ouattara, a adressé un message touchant de soutien aux Eléphants.
«En cette veille de demi-finale pour laquelle nos Éléphants se sont brillamment qualifiés, je voudrais réitérer tout mon soutien à notre équipe nationale qui fait battre nos cœurs à l’unisson depuis le début de cette CAN. Je vous souhaite de remporter la victoire pour le match de demain», a-t-elle déclaré.
La première dame Dominique Ouattara a également tenu à souligner son engagement sans faille envers l’équipe, affirmant qu’elle est de tout cœur avec les Éléphants.
La ferveur et le soutien de la première dame illustrent l’importance de cet événement pour la nation ivoirienne, ainsi que l’unité et la passion suscitées par la participation de l’équipe nationale à la CAN 2023.
Les supporters attendent avec impatience ce match crucial, espérant que les Éléphants pourront offrir une victoire mémorable à leur pays.
La bonne opération de Faé
Emerse Faé a donc 100 % de réussite en tant que N.1 sur le banc : deux matchs, deux qualifications, depuis qu’il a pris la succession de Jean-Louis Gasset, dont il était l’adjoint, après le camouflet équato-guinéen.
A propos d’histoire, la Côte d’Ivoire a déjà battu la RD Congo en demi-finale en 2015 (3-1) sur la route de sa deuxième Coupe d’Afrique. Encore un signe du destin pour les Éléphants en pleine réussite ?
Un incontestable élan nouveau accompagne l’équipe de Côte d’Ivoire. La sélection revient de tellement loin qu’elle apparaît aujourd’hui lancée comme une locomotive vers cette finale dont elle rêve tant chez elle.
La métamorphose est flagrante quand on repense aux images après le désastre équato-guinéen du 22 janvier. Les supporters ont retrouvé le sourire, et c’est aussi que sur eux que compte l’expérimenté Max-Alain Gradel :
«On sent l’engouement (…). Contre le Sénégal, on a senti, alors qu’on était mené, que le peuple était derrière nous. Pareil contre le Mali : même à 10, on a senti vraiment le peuple nous pousser. Quand tu vois ton peuple chanter l’hymne national alors qu’on est à 10 et qu’il ne reste que quelques minutes, c’est incroyable. (…) On ne se sentait pas à 10, on avait l’impression d’être à 15 contre 11».
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