En cette fin du mois d’octobre, une mauvaise nouvelle est parvenue au pasteur Camille Makosso. Il l’a partagée avec les internautes, suscitant de vives réactions. Nous vous faisons le point.
Depuis août 2025, Camille Makosso a multiplié les publications controversées sur les réseaux sociaux, attirant l’attention des internautes et des plateformes numériques.
Ses prises de position publiques, souvent directes et provocatrices, ont provoqué de nombreuses réactions en Côte d’Ivoire.
En août, Makosso a exprimé son soutien à certaines figures politiques et sociales, partageant ses opinions de manière virale sur Facebook et Instagram.
Ces publications ont déclenché des débats enflammés parmi ses abonnés, certains approuvant ses messages, d’autres les critiquant vivement. Ses vidéos abordaient à la fois des questions de société et des sujets familiaux, renforçant sa visibilité médiatique.
Rapidement, les contenus de Makosso ont attiré l’attention de TikTok. Ses propos ont été jugés contraires aux directives de la plateforme, ce qui a mené à des avertissements répétés. Malgré ces alertes, il a continué à poster des vidéos.
En octobre 2025, la situation a atteint un tournant. Son compte TikTok principal, qui comptait 2.5 millions d’abonnés, a été banni. Camille Makosso a annoncé lui-même cette décision sur ses autres réseaux sociaux.
Dans une vidéo diffusée sur Facebook et Instagram, il a laissé entendre qu’il ne comptait pas se laisser arrêter par ce bannissement.
Immédiatement, il a créé un nouveau compte TikTok. Sur ce profil, il partage désormais ses vidéos avec une approche similaire, combinant sujets sociaux, commentaires sur l’actualité et prises de position personnelles. Les abonnés ont rapidement rejoint ce nouveau compte, confirmant l’influence durable de Camille Makosso malgré les obstacles.
En clair, le pasteur Camille Makosso reste actif et influent malgré la suspension de son compte principal. Ses activités récentes, de ses publications virales à la création d’un nouveau profil, démontrent sa capacité à rebondir et à maintenir sa visibilité, tout en suscitant un débat sur les limites de l’expression sur les réseaux sociaux.
