Au Cameroun, un scandale a éclaté après la fuite de plusieurs vidéos choquantes montrant des policières en pleine p@r-t0uze. Nous vous faisons le point.
Les vidéos ont commencé à circuler depuis plusieurs jours dans les groupes WhatsApp et Telegram. Les séquences montrent deux femmes en pleins ébats s3xµ-els dans un bureau. La policière identifiée dans l’une des vidéos se prénomme Christelle.
Dans l’une des séquences, l’on pouvait voir la policière en train de c@rresser sa collègue, tout en se déshabillant. Dans d’autres séquences, elle est couchée sur le dos, tandis que sa collègue la c@resse.
Ces vidéos montrant une p@r-t0uze entre ces policières ont provoqué un scandale au Cameroun, ainsi qu’en dehors. Sur la toile, les internautes ont déploré cet acte commis dans un lieu de service. Ils espèrent la réaction des autorités.
Notons que ce fait survient quelques jours après le dévoilement de la liste des candidats aux élections présidentielles de 2025.
Au total, 13 candidats ont finalement été retenus pour battre campagne. Cette liste est composée de Biya Paul, Libii Cabral, Tomaino Hermine Patricia Njoya, Ateki Caxrton, Bello Bouba Maigari, Bouba Hagbe Jacques, Nzipang Hilaire Macaire, Issa Tchiroma, Iyodi Hiram Samuel, Kouemo Pierre, Matomba Serge Espoir, Muna Akere et d’Osih Joshua.
Notons par ailleurs que pour cette présidentielle 2025, les Camerounais pensent à une stratégie bien définie : se concentrer sur un seul candidat.
« Un conseil, mes chers frères et sœurs, choisissons un candidat parmi eux et tout le monde vote ce candidat et on va changer ce pays, c’est la seule solution ».
« Celui qui veut réellement le changement votera pour les candidats sélectionnés même si son candidat n’y est pas.
Actuellement, c’est le changement qui doit être notre priorité et rien d’autre. Nous souffrons tous ensemble donc ne l’oublions pas. Votons pour le changement et rien d’autre ».
« On va rendre le candidat le plus sous-estimé président. Il y a le temps de choisir par instinct, car il n’y a que l’instinct et la prière qui pourront nous aider.
À ce stade-ci, nous n’avons plus vraiment de candidat capable. Prions sérieusement, mes chers frères. Ensemble, nous pouvons ».
« Ce rejet marque un nouvel abus contre la démocratie. Depuis 43 ans, un petit cercle dirige ce pays sans rendre compte au peuple. Et quand un vent d’alternance se lève, ils trouvent des prétextes pour l’étouffer.
Nous disons non à cette manœuvre politique, nous disons non à la confiscation du pouvoir. Nous disons oui au changement, à l’alternance, à un État juste et équitable.
La gouvernance par procuration et sous haute instruction doit cesser. La lutte continue, et le peuple ne reculera pas », peut-on lire dans les commentaires.