Deux figures de la musique africaine, Burna Boy et Shatta Wale, ont vu leur relation se détériorer. Leur conflit a éclaté lorsque Shatta Wale a critiqué les artistes nigérians pour leur prétendu manque de soutien envers leurs homologues ghanéens.
Burna Boy, piqué au vif, a répondu en proposant un affrontement direct. Cette proposition a attisé les tensions entre les deux stars.
Parallèlement, Burna Boy vivait une relation amoureuse médiatisée avec Stefflon Don, artiste britannique. Leur histoire, qui a duré environ deux ans, s’est terminée en 2021.
Stefflon Don, après leur rupture, a déclaré qu’elle ne fréquenterait plus d’artistes musicaux. Ces propos ont suscité de nombreuses spéculations sur les raisons de leur séparation.
Dans ce contexte déjà tendu, des rumeurs ont émergé. Certains prétendent que Shatta Wale aurait entretenu une relation avec Stefflon Don pour embarrasser Burna Boy.
D’autres avancent que Shatta aurait même envisagé de collaborer musicalement avec elle pour intensifier leur différend. Pourtant, aucune preuve concrète ne confirme ces affirmations.
Jusqu’à présent, ni Burna Boy ni Shatta Wale n’a commenté directement ces allégations. Stefflon Don, de son côté, semble avoir tourné la page sur cette période.
Les accusations de trahison ou de provocation restent donc des spéculations, alimentées principalement par des internautes et des tabloïds.
L’opposition entre Burna Boy et Shatta Wale a toutefois marqué les esprits. Leurs prises de position publiques ont divisé leurs fans et ont alimenté le débat sur les relations entre artistes africains.
Certains y voient un simple clash médiatique, tandis que d’autres interprètent ces tensions comme un reflet des rivalités entre les industries musicales des différents pays africains.
Malgré leurs différends, les deux artistes continuent de dominer leurs scènes respectives. Burna Boy s’impose comme une figure majeure de l’afrobeat à l’échelle mondiale. Shatta Wale, de son côté, reste un pilier de la musique dancehall en Afrique.
Bien que cette histoire ait alimenté de nombreuses discussions, elle semble relever davantage de la spéculation que de faits avérés. L’essentiel reste leur impact dans l’industrie musicale africaine et au-delà.