Burkina Faso : très bonne nouvelle, Ibrahim Traoré renforce le secteur des transports avec l’acquisition de plusieurs…

Burkina Faso : très bonne nouvelle, Ibrahim Traoré renforce le secteur des transports avec l'acquisition de plusieurs...

Crédit Photo : Jeune Afrique

Au Burkina Faso, les autorités envisagent de renforcer le secteur des transports.

A cet effet, le parc automobile de la Société de transport en commun (SOTRACO) a été renforcé avec la réception d’un premier lot de nouveaux bus.

Selon le média Burkina 24 , le samedi 22 février 2025, un premier lot composé de 15 bus destiné à renforcer la flotte de la SOTRACO, est arrivé à Ouagadougou, la capitale burkinabè.

La veille de la réception de ces nouveaux bus, soit le vendredi 21 février 2025, le président de la Délégation Spéciale (PDS) de la commune de Ouagadougou, Maurice Konaté, et les Directeurs Généraux du Conseil du Transport du Grand Ouaga et de la SOTRACO, se sont rendus à Dakola, situé à la frontière entre le Burkina Faso et le Ghana.

Il était question pour la délégation de s’entretenir avec la douane burkinabè et ghanéenne en vue de finaliser les formalités pour permettre aux nouveaux bus d’entrer sur le territoire burkinabè.

C’est donc suite à ces démarches que le premier lot de bus a pu être réceptionné samedi par les autorités en faveurs de la SOTRACO.

Selon Burkina 24, « conforme aux spécifications du contrat de fourniture signé avec Scania West Africa, le prototype de bus répond pleinement aux exigences de modernité et de performance ».

Par ailleurs, « au total, 30 bus modernes de 90 places chacun sont prévus pour renforcer le parc automobile de la SOTRACO ».

Il faut souligner que depuis plus d’une vingtaine d’années, La SOTRACO fait partie des sociétés de transport urbain présentes dans plusieurs grandes villes du Burkina Faso.

En 2024, le gouvernement avait adopté un décret visant à augmenter la participation du Fonds burkinabè de développement économique et social et de la Commune de Ouagadougou dans le capital social de la société.

En effet, l’exécutif ambitionne de faire passer le capital social de l’entreprise de 800 millions à 5 milliards FCFA avec au moins 75% des actions pour l’Etat et ses démembrements.