Cette décision risque de ne pas plaire aux populations déjà touchées par la crise économique dans le pays.
Afin de faire face à la crise sécuritaire persistante et l’inflation galopante dans le pays, les militaires au pouvoir ont décidé que le taux de pression fiscale passera de 15,6 % en 2023 à 17,2% en 2024.
A en croire le gouvernement de transition, l’augmentation sera progressive et se situera à 17,8% en 2025 et 18,3% en 2026.
Elle restera toujours en deçà du minimum de 20%, norme communautaire. Pour ce faire, une relecture du Code général des impôts est prévue selon la lettre adressée au premier ministre Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambela et son gouvernement puis aux présidents d’institutions.
Selon les termes de la note, le gouvernement de transition doit aller chercher le « nerf de la guerre » partout où il se trouve.
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