Ibrahim Traoré est décidé à créer de la richesse pour le Burkina Faso afin de relancer l’économie du pays. Le pays a décidé d’installer une usine de traitement des résidus miniers.
Elle sera officiellement lancée le 23 janvier 2024 dans la zone industrielle de Kossodo à Ouagadougou, la capitale du pays.
Sous le haut patronage du président de la transition, Ibrahim Traoré, usine Golden Hand, responsable de l’extraction des métaux précieux restants dans les résidus va officiellement lancer ses activités.
Cette nouvelle initiative du président de la transition vise à maximaliser l’extraction des ressources minières du pays en récupérant des substances précieuses à partir des résidus. Elle permettra également de renforcer la mise en œuvre de la production locale.
Afin d’optimiser les activités de l’usine, des accords ont été signés d’autres entreprises. Entre autres la société Essakane.
Cette société minière permettra à l’usine de bénéficier de plusieurs centaines de tonnes de charbon fin. À cela, s’ajouteront également les résidus provenant des différentes unités minières du pays.
Notons que cette initiative est née de la saisie de 32 conteneurs de charbon fin en 2018 et les soupçons de dissimulation d’or et d’argents dans ces résidus.
Par ailleurs, des dispositions ont été prises afin d’encadrer le traitement des résidus miniers. Ces mesures prises visent également à assurer la production, la transformation et la commercialisation de cette ressource aurifère.
A titre informatif, l’autorité burkinabè envisage de doter le pays d’une raffinerie d’or d’ici août 2024. À travers ce projet, les nouveaux dirigeants ambitionnent d’exploiter pleinement le potentiel aurifère dont dispose le Burkina.
En novembre 2023, le Capitaine Ibrahim Traoré, a posé la première pierre pour la construction de cette raffinerie.
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