Le Burkina Faso sous la houlette d’Ibrahim Traoré est engagé pour un développement réel et durable.
Pour sortir les populations burkinabé du cercle vicieux de la pauvreté, le gouvernement de la transition multiplie des initiatives.
Dans cette logique, le pays explore de nouvelles pistes de coopération. Ouagadougou a décidé de collaborer avec la Turquie.
Le mercredi 17 janvier 2024 à Ankara, les deux pays ont intensifié leur collaboration dans plusieurs domaines.
Il s’agit : le commerce et les investissements, l’industrie et l’artisanat, les infrastructures immobilières, l’énergie et les mines, l’agriculture et l’environnement, la santé, les arts, les technologies de l’information et de la communication, la Presse, le sport etc.
Dans cette dynamique, des engagements ont été pris de part et d’autre, pour donner un nouvel élan à la coopération.
Selon le ministre des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Karamoko Jean Marie Traore, dans le domaine de la santé, « les experts burkinabè de la santé peuvent partager à leurs collègues turcs, des expériences dans la prise en charge des maladies tropicales ».
Il a également souligné : « la nécessité pour les deux pays de conduire des programmes conjoints de recherche, en vue de parvenir à des modules innovants qui puissent répondre efficacement aux défis sanitaires dans les deux pays ».
« En tant que co-présidents, nous avons signé le procès-verbal de la réunion, nous avons également convenu du développement de notre coopération dans tous les domaines, de la santé à l’énergie, du commerce à l’éducation », a posté sur les réseaux sociaux, Fahrettin Koca.
Le Burkina Faso dirigé par Ibrahim Traoré a pris son destin en main. Il ne se ferme aucune porte désormais.
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