Au Burkina Faso, la lutte contre la corruption engagée par le capitaine Ibrahim Traoré a pris une tournure sans précédent.
En effet, lors du conseil des ministres tenu le jeudi 4 septembre 2025, le gouvernement a annoncé avec une rare fermeté la révocation de plusieurs agents publics.
Cette décision n’a pas été prise à la légère : elle a incarné la volonté affichée du pouvoir en place de rompre avec les pratiques qui ont fragilisé l’administration et miné la confiance des citoyens.
Ainsi, Ibrahim Traoré a mis fin aux fonctions de 21 agents publics au Burkina Faso, après que des investigations ont révélé des falsifications de diplômes dans le cadre de leur recrutement ou de leur avancement.
Ces révélations ont choqué l’opinion, car elles ont mis en lumière une fraude enracinée depuis longtemps dans les rouages administratifs. Face à ce constat, le chef de l’État et son gouvernement ont préféré agir sans détour. Une radiation pure et définitive a été prononcée, ce qui prouve que désormais, aucune forme de corruption ne resterait impunie. Cette mesure a également traduit une détermination claire d’Ibrahim Traoré à instaurer un climat de rigueur et de transparence au cœur du Burkina Faso.
Par ailleurs, le conseil des ministres n’a pas seulement puni les fraudeurs ; il a aussi adopté des réformes structurelles. L’une des plus marquantes a consisté à introduire une clause prioritaire de service à l’État.
Selon ce nouveau décret, chaque agent recruté devra désormais consacrer au moins quinze années de service avant de prétendre à une retraite proportionnelle. En cas de rupture anticipée, il sera obligé de rembourser les frais de formation financés par l’État. Une telle disposition a été pensée pour décourager les départs précipités et renforcer l’engagement des fonctionnaires envers leur pays.
En définitive, cette série de décisions marque un moment historique dans la gouvernance du Burkina Faso. Elle illustre le courage politique du capitaine Ibrahim Traoré et a fait naître un nouvel espoir auprès de la population, qui aspire depuis longtemps à une administration juste, intègre et respectueuse des valeurs républicaines.