Burkina Faso : après le capitaine Ibrahim Traoré, le Premier ministre entre officiellement en possession de…

Burkina Faso : après le capitaine Ibrahim Traoré, le Premier ministre entre officiellement en possession de...

Crédit Photo : Connectionivoirienne

‎Après le président de la transition du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, c’est désormais au tour de son Premier ministre d’entrer en possession de ce document important.

‎En effet, le chef du gouvernement burkinabè, Jean Emmanuel Ouédraogo, est désormais détenteur d’une carte d’identité biométrique de la Confédération des États du Sahel (CIB-AES).

‎Le mardi 02 décembre 2025, le Premier ministre burkinabè a reçu à son cabinet, une équipe technique de l’Office national d’identification (ONI).

‎Lors de cette rencontre, il s’agissait pour le chef de la primature burkinabè, de se faire enrôler par l’équipe de l’ONI pour l’obtention de la carte biométrique de la nouvelle alliance sahélienne.

‎Ainsi, à l’issue des différentes étapes de la procédure d’enrôlement, le Premier ministre Jean Emmanuel Ouédraogo est officiellement entré en possession de sa carte d’identité biométrique de l’AES.

Rappelons que l’obtention de la CIB-AES par le chef de gouvernement du Burkina Faso, intervient suite à celui du chef d’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré.

‎Qu’il vous en souvienne, le lundi 1er décembre 2025, le président de la transition burkinabè a reçu sa CIB-AES des mains du ministre burkinabè en charge de la Sécurité, Mahamadou Sana.

‎La production en masse de ce document d’identité, débutera dès que le mois de janvier 2026 dans l’espace AES.

D’un coût de 3500 FCFA, cette carte peut être obtenu par tout citoyen de l’Alliance des États du Sahel âgé d’au moins 5 ans.

Mais, elle est exigible à partir de 13 ans et a une durée de validité de 10 ans.

‎ »Conçue en polycarbonate et dotée de dispositifs de sécurité avancés, la CIB-AES offre des garanties de fiabilité, de durabilité et de protection des données personnelles conformes aux standards internationaux les plus exigeants », a expliqué la primature burkinabè.

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