Dans le cadre de ses activités portant sur le développement de la recherche dans le champ de la mobilité urbaine dans les villes africaines, le Réseau des Établissements sur la Mobilité Urbaine Durable (RéMUD) propose pour l’année 2024-2025 un programme d’accompagnement doctoral intitulé « MobiDoc ». L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 20 décembre 2024.
Projet co-financé par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), MobiDoc a pour objectif de faciliter la réalisation du parcours doctoral d’étudiantes et d’étudiants inscrit.es en thèse de Doctorat dans des universités africaines et dont la recherche porte sur la mobilité urbaine durable dans les villes du Sud global.
L’accompagnement s’articule autour de plusieurs activités :
- Un suivi mensuel à distance pendant 6 mois lors de webinaires qui rassembleront l’ensemble des doctorants et doctorantes de la cohorte ainsi que des enseignant.es, des chercheur.es et expert.es, membres du RéMUD.
- Une mobilité de plusieurs semaines au sein d’un laboratoire de recherche spécialisé en mobilité urbaine dans les villes du Sud global. Cette mobilité pourra avoir lieu en France, au Maroc ou au Sénégal.
Il est attendu que ce programme d’accompagnement permette aux doctorantes et doctorants d’avancer concrètement sur un ou deux objectifs établis individuellement au lancement du programme, et d’identifier des projets de collaborations (publication et/ou communication) avec au moins un établissement extérieur à celui de l’université d’inscription. Ce programme d’accompagnement sera réalisé en langue française.
Le programme MobiDoc est ouvert à candidature jusqu’au 20 décembre 2024 23h59 CET via un formulaire en ligne sur le site web du RéMUD.
La mission du RéMUD
Créé en octobre 2021 avec le soutien de la CODATU et de l’AUF, le Réseau des Établissements sur la Mobilité Urbaine Durable (RéMUD) a pour objectif principal de favoriser l’expertise internationale dans le domaine de la mobilité durable dans les villes, en particulier dans les pays du Sud global. Le réseau vise à renforcer les formations et recherches sur ce sujet, à soutenir les projets bilatéraux et multilatéraux, et à structurer la recherche en Afrique Sub-Saharienne.
