Depuis plus d’un an, Black Sherif enchaîne des sorties musicales qui emballent immédiatement les fans. Il est la nouvelle icône de la musique ghanéenne.
La rançon d’un succès fulgurant dont il a rêvé dès ses débuts dans le monde du showbiz. Ses textes s’inscrivent souvent dans le hardcore.
Et alors que les artistes nigérians continuent de grimper dans les ventes de singles aux Etats-Unis et rencontrent un succès international de plus grande échelle, voilà que le jeune artiste ghanéen vient de se mettre aussi dans la danse, portant haut les couleurs de sa nation.
Mais contrairement à tout ce qu’on pourrait imaginer, Black Sherif ne jouit pas financièrement de son succès fulgurant.
La faute à un contrat qu’il aurait signé à ses débuts et qui ne l’arrangerait point.
En effet, selon différentes sources d’informations, Black Sherif est actuellement lié par un contrat de label de 15 ans qu’il a signé avec Empire il y a un an avant son succès.
Un document supposé être le contrat de Black Sherif avec Empire révèle que le label musical recevra 75 % des revenus générés par la commercialisation des projets de Black Sherif, tandis que 10 % iront au label de Black Sherif basé au Ghana, ne laissant à l’artiste que 15 % de ses revenus.
Une mauvaise affaire pour le chanteur ghanéen qui se voit obligé de se soumettre aux clauses de son contrat pendant 15 longues années.
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