« Les mauvaises graines gâtent la récolte », dit-on. Les mauvais éléments dans la police du Bénin seront sévèrement sanctionnés.
C’est ce qui ressort du groupe de travail entre le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique et les premiers Responsables de la Police Républicaine, avec à leur tête le Directeur Général Soumaïla YAYA.
Le mardi 26 novembre 2024, le Ministre Alassane SEIDOU et son cabinet ont réitéré le désir du gouvernement de faire de la police un recours sûr pour la population.
Il précise que les institutions les plus appropriées pour nettoyer les rangs de la Police Républicaine agiront.
L’utilisation excessive de force brute prohibée par le gouvernement. Car les policiers responsables de la mort d’un citoyen feront face à la loi. Toutefois, ils peuvent se défendre en cas de danger.
Les comportements à surveiller ont rapport avec des déviances, des attitudes aux antipodes des valeurs que le gouvernement veut promouvoir.
La Police républicaine est une force paramilitaire instituée pour veiller à la sécurité publique, au maintien de l’ordre et à l’exécution des lois. La police doit protéger et servir la population. Elle ne doit en aucun cas nuire.
Les contrevenants au mot d’ordre feront face à des sanctions disciplinaires maximales. De 60 jours d’arrêt de rigueur, suivis de conseil de discipline sanctionné par la radiation. Au cas échéant, des poursuites judiciaires pourront en découler aux fins de condamnation par la justice.
On peut dénoter à travers les propos sur le site du gouvernement la volonté ferme dans son engagement.
Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique affirme que « toutes les dispositions sont prises pour qu’il y ait une amélioration notable ».
Monsieur Alassane SEIDOU ajoute que « Les populations peuvent compter sur le gouvernement ». Car ils vont « redoubler d’efforts pour que la sécurité soit véritablement un acquis dans notre pays ».