Après l’élimination du Real Madrid de la Ligue des champions, une scène s’est produite entre Jude Bellingham et un joueur d’Arsenal qui n’est autre que Myles Lewis-Skelly.
Pour l’histoire, le Real Madrid est tombé lourdement au Santiago Bernabéu. Arsenal s’est imposé sur un score de 2-1 au retour après un 3-0 à l’aller. Le score cumulé est sans appel : 5-1.
Après le match, le joueur d’Arsenal s’est approché de Jude Bellingham pour lui serrer la main, mais ce dernier n’a pas accepté. Visiblement frustré, il lui a tourné le dos.
Interrogé après la rencontre, Lewis-Skelly a donné sa version en ces termes : « Je lui ai demandé où se trouvait la Remontada ».
Cette question à Jude Bellingham a donc tout déclenché, elle pique et rappelle que le Real Madrid, réputé pour ses retournements de situation en Ligue des champions, n’a rien pu faire cette fois face à Arsenal.
Les Gunners ont dominé les deux matchs. À Londres, ils ont étouffé les Merengues. À Madrid, ils ont confirmé. Bukayo Saka a ouvert le score, Vinícius Jr. a égalisé, mais Gabriel Martinelli a mis fin au suspense.
Grâce à une maîtrise collective impressionnante, Arsenal s’offre une place dans le dernier carré. Notons que Lewis-Skelly, titulaire surprise, a joué sans peur.
Il a pressé, relancé et coupé les lignes. Mais Bellingham, pourtant habitué aux grands rendez-vous, est resté muet. Son influence a disparu face à l’intensité anglaise.
Par ailleurs, cette altercation montre que la tension dépasse le rectangle vert. Arsenal n’a pas seulement battu le Real, il l’a humilié. Et Lewis-Skelly l’a rappelé froidement.
Cette qualification relance les ambitions d’Arsenal. Le club n’avait plus atteint ce stade de la Ligue des champions depuis 2009.
Désormais, il affrontera le Paris Saint-Germain pour une place en finale. Avec une jeunesse brillante, un collectif soudé et des cadres en forme, tout semble possible.
Enfin, Jude Bellingham devra patienter. Le Real sort par la petite porte. Arsenal, lui, avance avec confiance. Et Lewis-Skelly, en une phrase, a résumé la soirée : Arsenal a parlé fort, et Bellingham a préféré se taire.