Bonne nouvelle pour le Bayern Munich au lendemain de la défaite contre l’Inter Milan, en quart de finale aller de la Ligue des Champions.
L’international français du Bayern Munich Dayot Upamecano, rentré blessé de la trêve internationale fin mars, a repris le 9 avril, la course sur les terrains d’entraînement munichois, un premier pas vers un retour, a annoncé le club bavarois
« Bonne nouvelle mercredi matin(9 avril ndlr) : Dayot Upamecano a effectué ses premiers tours de course sur les terrains d’entraînement, pour la première fois depuis sa blessure à un genou », a expliqué le Bayern dans un communiqué.
Un communiqué diffusé au lendemain de la défaite à l’Allianz Arena contre l’Inter Milan (2-1) en quarts de finale aller de la Ligue des champions.
Le Français de 26 ans, qui a inscrit le 23 mars le tir au but de la qualification de la France pour les demi-finales de la Ligue des nations contre la Croatie, est revenu blessé. Des examens réalisés à Munich il y a deux semaines ont révélé des corps libres dans l’articulation du genou gauche.
« Upamecano a fait désormais un premier pas vers un retour », a souligné le Bayern, engagé dans le sprint final de la saison, avec une première place en Bundesliga à défendre (six points d’avance sur Leverkusen à six journées du terme) et un quart de C1 à renverser la semaine prochaine à San Siro.
En sélection, l’équipe de France a encore le Final 4 de la Ligue des nations au programme avec une demi-finale contre l’Espagne le 5 juin à Stuttgart et un dernier match – finale à Munich ou 3e place à Stuttgart – trois jours plus tard.
Selon le tabloïd Bild, « Upa » a subi une opération pour lisser le cartilage, ce qui a permis un retour rapide à la course. Sa reprise de la compétition dépendra, toujours selon Bild, de la façon dont le genou gauche réagira à la charge de travail.
Pour le sprint final de la saison, le « Rekordmeister » a perdu sur blessure ces dernières semaines plusieurs joueurs clés de son effectif: Dayot Upamecano, Alphonso Davies, Manuel Neuer, Jamal Musiala et Hiroki Ito.
Avec AFP