Gédéon de la Tchétchouvah, pasteur bien connu pour son attachement au Real Madrid, n’est pas resté silencieux après l’élimination du Barça par l’Inter Milan en demi-finale de la Ligue des champions 2025.
À peine le match terminé, les réseaux sociaux se sont enflammés. De nombreux internautes ont inondé ses publications, le taguant sans relâche.
Tous attendaient sa réaction. Certains espéraient une moquerie. D’autres anticipaient une déclaration tranchante contre le club catalan. Mais le pasteur a surpris tout le monde par son calme.
Il a simplement écrit : « Arrêtez de me taguer, car ma foi m’interdit de me moquer du malheur d’autrui. Mais c’est souvent bon de revenir sur terre ».
Par cette phrase, Gédéon montre une fois de plus qu’il reste fidèle à ses principes. Il refuse de se réjouir ouvertement de l’échec d’un adversaire, même si ce dernier est historique.
La première partie du message souligne sa retenue. La seconde, en revanche, laisse entrevoir une touche de fermeté, presque une leçon.
Très vite, la publication a fait le tour des réseaux. Les réactions n’ont pas tardé. Certains internautes ont salué son élégance. D’autres ont vu dans la dernière phrase une pique subtile adressée aux fans blaugranas. Mais tous s’accordent sur un point : Gédéon n’a pas fui le sujet.
Contrairement à ceux qui jubilent ouvertement après une élimination, le pasteur choisit un ton posé, presque spirituel. Il place la foi au centre, même dans le contexte du football. Ce positionnement renforce son image de leader cohérent, capable de ne pas céder à la tentation du buzz.
En restant digne dans la victoire, il envoie aussi un message fort à la communauté. Le sport n’est pas une guerre. La rivalité n’autorise pas tout. Et la foi, selon lui, impose une certaine éthique dans la réaction.
Au final, le pasteur Gédéon de la Tchétchouvah a réagi à l’élimination du Barça. Pas avec violence, ni sarcasme. Mais avec des mots pesés, pensés et assumés. Une posture qui confirme qu’il reste, dans la passion comme dans la foi, maître de son message.
