Si les internautes ont été pris de compassion pour la femme de Baltasar après la publication des s3xt@pes de son mari, ce ne sera plus le cas si ces faits sont avérés.
Sur la toile, elle est au cœur d’un scandale après la publication de plusieurs s3xt@pes d’une femme qui lui ressemble. Dans une séquence, la femme a été vue toute nµe allongée sur le lit.
Plus tard, elle se fera rejoindre par son amant qui prendra le soin de la caresser pendant plusieurs minutes. Ensuite, les deux sont passés à l’acte et cela a duré près de 10 minutes.
« Mesdames et messieurs, ce que vous verrez aujourd’hui est incroyable.
Nous pensons que Baltasar a quelque chose de caché. Défoncer tes cousines et tes tantes n’est quand même pas trop acceptable, mais voir sa femme se faire défoncer par quelqu’un d’autre, et que tu décides de l’enregistrer, c’est carrément du délire« , a réagi un internaute.
La femme de Baltasar a-t-elle regardé les s3xt@pes de son mari et aurait-elle décidé de se venger à son tour ? S’agit-il d’une concurrence entre le couple ? Tant de questions qui suscitent l’interrogation sur la toile.
Mais selon certains avis, il ne s’agit que d’une ressemblance entre la femme de Baltasar et celle dans les vidéos. Nous vous reviendrons avec plus de détails sur cette affaire.
Faut-il le rappeler, en ce qui concerne l’homme d’affaires équato-guinéen, il a subi une sanction venant des autorités de son pays.
Il a été démis de ses fonctions par décret présidentiel et accusé dans un témoignage diffusé par la télévision d’État d’avoir conservé ses vidéos sans consentement.
Le mercredi 6 novembre dernier, le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a ordonné par décret « la révocation de Baltasar Ebang Engonga en tant que directeur de l’Agence nationale d’investigation financière ANIF ».
La veille, la télévision d’État TVGE a de son côté diffusé les protestations indignées d’une femme au visage flouté se présentant comme une de ses partenaires.
« Je voudrais savoir d’où sortent ces vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, je voudrais savoir pourquoi il (les) conservait sans mon consentement », a-t-elle dit, se disant « humiliée » dans sa « réputation » et son « honneur ».
Cette femme a expliqué avoir « donné son accord » pour que ses ébats soient filmés, mais pensait que les images avaient « été immédiatement effacées » après visualisation.
Les sextapes tournées à des dates inconnues dans différents lieux – dont son bureau au ministère des Finances – et avec différentes partenaires, dont des épouses de dignitaires locaux, ont fuité sur les réseaux sociaux. Ceci, alors qu’il se trouvait en détention préventive à la prison Black Beach de Malabo dans une affaire de détournement de fonds publics.
Leur diffusion virale a par ailleurs poussé les autorités équatoguinéennes à limiter le flux internet dans le pays pour stopper les téléchargements.