La tristement célèbre histoire de Baltasar a distrait bon nombre de personnes sur la toile, mais pas certains étudiants en droit pour qui ce nom est devenu un sujet d’examen.
L’épreuve a été donnée à des étudiants en Master de droit privé fondamental. Sur la toile, elle donne des sueurs froides aux personnes désireuses de faire le droit pour devenir avocat ou juge.
Les étudiants en question avaient 4 h pour traiter le sujet. A priori, on pourrait se dire que ce sujet leur serait abordable étant donné qu’ils sont en Master 2.
Cependant, ce sujet révèle la complexité de certains sujets juridiques qui parfois sortent du commun. En effet, les étudiants en droit sont parfois soumis à des sujets complexes.
On peut citer les sujets de dissertation comme : « Le sang en droit » ou encore « 46 soldats ivoiriens ». Au Togo, à l’Université de Lomé, les étudiants ont eu des sujets comme « Nicolo » ou « La Constitution ».
Chez les voisins du Togo au Burkina Faso, les étudiants de l’université de Bobo-Diolasso ont eu comme sujet en introduction au droit : « Le pain ».

Sur quoi porte l’affaire Baltasar demandée en examen à des étudiants ?
En Guinée Equatoriale, Baltasar Ebang Engonga est devenu célèbre après la diffusion de plusieurs des ses $ext@pes.
Dans les vidéos, on pouvait voir l’Equato-guinéen en plein éb@ts sexµels dans son bureau avec différentes femmes. Selon Jeune Afrique, il s’agirait de femmes proches de dignitaires, de ministres et de généraux.
Baltasar Ebang Engonga, alias Bello, est un membre de la famille présidentielle. Il est le fils de Baltasar Engonga Edjo’o, président de la commission de la Cemac et neveu du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
Il était Directeur de l’administration fiscale jusqu’à ce que des soupçons de transfert de fonds publics vers les îles Caïmans l’envoient en détention.
En prison, ses téléphones et ordinateurs ont révélé les sext@pes, qui ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux.
La justice a fini par libérer Baltasar Ebang Engonga. Les accusations de détournement à son encontre n’ont pas abouti. De plus, les juges ont estimé que les femmes impliquées dans les vidéos étaient consentantes.