Comme c’est le cas chaque année, la publication de la liste des 30 nommés pour le Ballon d’Or 2025 crée l’attente, puis le débat.
L’édition 2025 ne fera pas exception, d’autant que le contexte s’y prête : une saison sans grande compétition internationale, des favoris en perte d’évidence, et une densité de performances individuelles à couper le souffle.
Pourtant, au-delà de ces considérations sportives, une nouveauté discrète s’est invitée dans le processus, suscitant déjà la curiosité des suiveurs avertis.
« Ce nouvel équilibre risque cependant de bousculer certaines hiérarchies. Un joueur ultra-décisif mais perçu comme peu impliqué dans le collectif pourrait en pâtir. À l’inverse, des profils plus discrets mais indispensables au système de leur équipe pourraient tirer leur épingle du jeu. Le message est clair : le Ballon d’Or ne doit plus récompenser uniquement le plus spectaculaire, mais celui qui fait vraiment gagner », selon le média Plume Média.
Reste à voir si cette inflexion sera perceptible dès cette année 2025.
La liste des 30 nommés, attendue le 7 août, sera déjà un bon indicateur. Et le classement final, lui, révélera si l’influence collective a su s’imposer comme critère décisif ou si les vieux réflexes ont la peau dure.
Sur la toile, les commentaires vont bon train. De nombreux analystes sportifs désignent Ousmane Dembélé favori. Pour d’autres par contre, c’est Lamine Yamal ou encore Achraf Hakimi.
Qui va donc succéder à l’international Espagnol Rodri ? C’est la grosse incertitude de ce début de saison footballistique.