Alors qu’il vient d’être nommé directeur général de la chaîne de cafés américaine, Starbucks, l’homme d’affaires américain, Brian Niccol se rendra au bureau en jet privé.
En effet, selon la presse internationale, le nouveau patron de Starbucks ira travailler en jet. L’affaire fait polémique en France.
Alors qu’il n’a pas encore pris fonction au sein du groupe américain, les conditions de travail de Brian Niccol suscitent déjà la controverse au sein de l’opinion publique.
Les avantages accordés par l’entreprise américaine à son nouveau directeur général sont jugés excessifs sur les réseaux sociaux et dans la presse occidentale.
En effet, l’Américain bénéficie d’avantages XXL. En plus d’un salaire annuel de 113 millions de dollars, Brian Niccol bénéficie d’un jet privé pour se rendre au service.
Il aura accès à un jet appartenant au groupe américain pour se rendre au siège, situé à environ 1.600 kilomètres de son domicile.
Selon le média français L’Express, la rémunération accordée à Brian Niccol est « quatre fois supérieure à celle de son prédécesseur, Laxman Narasimhan, qui a touché 28 millions de dollars en 2022.
Et 5 300 fois plus élevé que le salaire médian annuel des salariés de Starbucks France, qui avoisine 21 300 euros. »
À en croire les médias internationaux, la société américaine subit depuis plusieurs mois une baisse d’activité dans un contexte de hausse des prix et de pressions des actionnaires.
Connu pour ses prouesses au sein de la chaîne de restauration rapide mexicaine, Chipotle, l’homme d’affaires devra redorer la réputation de Starbucks.
Pour la petite histoire avec Chipotle, Brian Niccol était arrivé à un moment de crise au sein de la société. Les ventes avaient drastiquement chuté.
Après sa nomination, il parvient à redorer la réputation de l’entreprise, à multiplier par sept ses bénéfices, et à faire grimper le cours de son action de plus de 800 %.